Sil’on peut hésiter sur l’orthographe de « sans encombre », il faudrait être bien étourdi pour écrire « un gilet sans manche », sans « s » à « manche ». En dehors de certains cas définis par l’usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu’il désigne une ou plusieurs choses manquantes. 1Au commencement, Dieu crée le ciel et la terre. 2 La terre est comme un grand vide. Elle est dans la nuit. Une eau profonde la recouvre. Le souffle de Dieu se tient au-dessus de l’eau. 3 Dieu dit : « Que la lumière brille ! » Et la lumière se met à briller. 4 Donccomme je ne veux pas avoir fait ça pour RIEN je vous les donnes !!!! Et aussi petit détail: Dans les paroles j'ai rajouté des trucs entre // qui sont en fait les paroles de Mathieu qu'on aperçois presque en images subliminale dans la vidéo ^^ DONC VOILA, ENJOY !!! # Hippie. La disparition du Prof Paroles. Mathieu : Il est l'heure d'attaquer la 4e saisonIl va y avoir Caroline la deuxième plus grande Maestro de N’oubliez pas les paroles, n’a rien pu faire contre Arsène en huitième de finale des Masters 2021. Elle se confie sur son élimination. Ya les choses qu’on peut faire Et puis celles qu’on doit pas Y’a tout c’qu’on doit taire Tout c’qui ne se dit pas Des vies qui nous Paroles avec . Toggle navigation. Paroles de chansons; Top 50; Nouvelles paroles; Boite à chansons; Actualité; Traduction; Peur De Rien Blues Jean Jacques Goldman. Corriger les paroles. Tweeter; Paroles de chansons / G / Jean Jacques Goldman 96 Le silence est parfois plus sage que la parole. Mazouz Hacène , reflexion. 53. Si la parole est en argent, et si le silence est d'or ; la présence est en argent massif, et l'amour en or 24 carats. Alain Laugier. 39. Si la parole que tu vas dire n'est pas plus belle que le Parolesde poilus : extraits. PAROLES DE POILUS : Lettres et carnets du front 1914-1918. 2 novembre 1914. Mes hommes trouvent mille petits moyens ingénieux pour se distraire ; actuellement, la fabrication de bagues en aluminium fait fureur : ils les taillent dans des fusées d’obus, les Boches fournissant ainsi la matière première « à l Ilfaut se contenter du peu que l'on a, c'est de ne rien avoir du tout ,qui est désastreux. Sauce la ka kouté pli chè ki pwasson la. La sauce coûte plus cher que le poisson. Se dit d'un mauvais investissement, et plus généralement de quelque chose qui ne vaut pas le coup. Sé épi grenn diri ou ka plen sac diri. Etpeut damner les saints L´honnête ou le sage Et l´on n´y peut rien Et l´on résiste on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayé Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poètes Aimes ses tableaux Et tu cherches à la croiser T´as quinze ans soudain Lesoulèvement de foule provient de peurs, un état de panique et de révolte se fait sentir et il peut y avoir des débordements de haine et de colère, engendrant de la violence. Il n’y a rien de pire que de se conformer ou de s’identifier à une idéologie, car cela sous-entend l’adhésion pleine et entière des idées qui circulent au sein du groupe auquel on appartient. VONJ. Paroles de Mignon Mignon de René La Taupe Mignon Mignon est une chanson de René La Taupe pour laquelle les paroles sont présentes depuis le 02 juillet paroles de Mignon Mignon ont été corrigées, cependant, il est possible que se dissimulent encore des fautes. N'hésitez pas à proposer vos corrections par pouvez écouter la chanson de René La Taupe avec la vidéo ci-dessous. Ce qui me plait chez toi C’est ton petit bidon Tes petites poignées d’amour Je trouve ça trop mignon Même si les autres dans la rue Te trouvent un peu trop gras Pour moi c’est confortable Quand tu me prends dans tes bras [Refrain] T'es si mignon mignon mignon Mais gros gros gros Mignon mignon mignon Mais gros gros gros En été tu fais d'l'ombre Et en hiver tu te tiens chaud Et quand t'as fini de bouffer Tu nous lâches sur un gros pet! J'aime bien tes petits bourrelets Et tes mollets bien potelés Quand on commence à manger Plus rien ne peut nous arrêter J'ai vraiment très très faim Et j'ai envie de te manger Et rien qu'en pensant à toi, Je commence à saliver Dans le chocolat, il y a beaucoup de vitamines Pour être en bonne santé, toi t'arrêtes pas d'en manger Tu te moques des gens trop maigres et tu te trouvent le plus beau Et aujourd'hui t'es fier d'avoir des calories en trop [Refrain] [...] Note Loading... Le clip vidéo de Mignon Mignon Télécharger le MP3, acheter le CD Audio ou la sonnerie de Mignon Mignon Liens pour les lyrics de Mignon Mignon Pour votre site / blog, copiez cette adresse BBCode pour un forum, utilisez ce code Pour commencer, un travail d’analyse du sujet très intéressant Peut-on parler pour ne rien dire ? Si nous considérons le langage comme un instrument destiné à traduire la pensée, il semble impossible de parler pour ne rien dire. En ce sens, parler devrait toujours signifier quelque chose. Il faut donc prendre ce sujet en un sens métaphorique pour essayer de savoir dans quelle mesure nous pourrions parler pour ne rien signifier, c’est-à-dire pour ne rien dire de particulier, dire des choses inutiles ou dépourvues de sens. Le langage est à la fois le bien le plus précieux et le plus dangereux qui ait été donné à l’homme, a dit le poète allemand Friedrich Hölderlin. Ce bien précieux », ne le gaspillons-nous pas lorsque nous parlons pour ne rien dire », c’est-à-dire lorsque nous bavardons ? Faut-il alors préférer à la futilité du bavardage, à son inutilité, le sérieux et l’efficacité de la parole ? Bavarder » vient de baver » ; bavarder, c’est parler abondamment de choses oiseuses, insignifiantes. Parler et bavarder sont deux modalités du langage ; le langage est le moyen de communiquer sa pensée à autrui, c’est du moins ce qu’affirme le sens commun. Parler, c’est donc mettre en oeuvre une intention active et consciente de communication ; la parole vise à l’efficacité, elle se veut utile, sérieuse, individualisée. Le bavardage, au contraire, est une parole oiseuse, inutile, stéréotypée, impersonnelle. Toutefois, même dans ce cas, il est possible de nous demander si le langage ne traduit rien. Ce qui est absurde ou inutile dit encore des choses sur celui qui le dit. Une parole insignifiante sans importance est-elle pour autant non signifiante dépourvue de signification ? Dit-on quelque chose même quand on ne veut rien dire ? De plus, comme la raison humaine est limitée nous ne pouvons tout savoir ni tout entendre, il apparaît que nous ne disons rien quand nous parlons si nous n’arrivons pas à formuler clairement ce que l’on veut dire ou à faire comprendre ce que l’on a dit. L’intention de communiquer suffit-il pour dire quelque chose ? Nos paroles, mêmes confuses et vides, seraient alors toujours en excès, en diraient toujours plus. La parole se réduit-elle à son contenu ? Enfin on peut se demander si nous parlons pour dire quelque chose ». Y a-t-il d’autres fonctions du langage que celle du transfert d’information ? Une parole dont le but n’est pas d’informer ne dit-elle rien ? Le sens se limite-t-il au contenu informatif du message ? Nous réfléchirons ,dans un premier temps, sur le pourquoi de cette parole sans importance » que nous opposerons dans un second temps au sérieux des discours. Puis nous nous demanderons si le dire » est le domaine d’une parole authentique. I/ Bavarder Ils jacassent, glosent, bavardent, devisent, papotent, blablatent, caquètent, jactent, jaspinent ou encore si nous étions en Belgique, ils babelent, ou au Québec, ils placotent. Toutes ces paroles pour ne rien dire. Toute cette salive gaspillée pour ne rien dire. Toute cette énergie, toute ce brouhaha pour au bout du compte ne rien dire. Beaucoup de bruit pour rien en quelque sorte … Pourquoi parle-t-on pour ne rien dire ? -cause Contrairement aux animaux, dont la communication est directement motivée par des besoins nutrition, reproduction, prédation, l’homme peut parler pour ne rien dire. En effet, l’objet de la communication n’est pas déterminé à l’avance comme c’est le cas par exemple des abeilles. Leur communication est une réponse à un stimulus ou attend en retour une réaction et non un dialogue. L’homme peut parler de tout et donc de rien ! puisque le lien entre sa communication et et son objet n’est pas programmé. but premier communication seconde pour l’animal / inverse pour l’homme. De plus, la structure du langage composé de morphèmes et phonèmes permet une infinité de combinaisons possibles pouvoir génératif du langage. Le lien entre signifiant et signifié étant conventionnel, on peut aussi imaginer inventer des mots qui ne correspondent à rien qui existe, à des pures abstractions. Cf. Saussure – but Pour échapper à l’ennui, pour passer le temps, pour se distraire cf. le thème du divertissement » dans Les Pensées » de Pascal. On parle de tout et de rien », est-ce pour échapper à la peur du rien » ? Ne pouvant parler du tout » Dieu, l’infini, on comblerait notre finitude par une logorrhée indigeste. Pour échapper à la solitude, pour établir un lien, même superficiel, éphémère et dérisoire avec autrui cf. la notion de contagion affective » dans Nature et formes de la sympathie » de Max Scheler b Le caractère superficiel du bavardage de rien d’intéressant en particulier On bavarde de choses et d’autres », de tout et de rien ». Si l’on passe aussi facilement d’un sujet à l’autre, c’est que tous les sujets se valent et qu’ils valent tous aussi peu. L’opinion ne dispense d’une justification, argumentation, n’étant que la rumeur, le oui-dire, le cancan ou le commérage qui ne survit qu’en s’altérant dans la bouche de ses colporteurs. ex proverbes, lieux communs, prêt à penser, légendes urbaines, superstitions… Cf. Bachelard l’opinion a en droit toujours tort » Formation de l’esprit scientifique. c Le caractère impersonnel et stéréotypé du bavardage de rien de personnel, intime, singulier Le bavardage requiert et maintient l’anonymat des consciences ; le je » et le tu » s’abolissent dans l’anonymat du on ». Le bavardage relève de l’opinion ce qui intéresse tout le monde n’intéresse personne en particulier. Le bavardage dégrade la relation en contact et fait du message un prétexte. Pour Soren Kirkegaard, le verbiage est la caractéristique essentielle de la foule. » Bourdieu sujets des journaux pour susciter le consensus, langue de bois d Inutilité du bavardage Le bavardage ne vise aucune fin particulière, il est à lui-même sa propre fin. Transitions-objections ; personne n’échappe tout à fait à la fonction phatique » du langage. le bavardage » n’est pas inutile », il a une fonction sociale bien précise établir un contact, créer des liens ; De ces petites paroles de la vie qui ne disent rien ça va ? », il fait beau aujourd’hui ». Sommes-nous sûrs de vraiment considérer la santé de la personne à laquelle on s’adresse ? Que dire des interjections, des accents, des formes verbales ? Tout cela serait-il un parasitage du message ? On peut en effet s’accorder sur les multiples façons de n’avoir rien à dire, même lors qu’on veut dire quelque chose. On rate le message, l’adresse, et la personne à laquelle on parle ne comprend rien. Dans une telle situation, qui ne comprend pas ? Celui qui s’exprime ou celui qui écoute ? Où se trouve le parasite ? Quand bien même c’est le locuteur qui émet les parasites avec des euh » par exemple, est-ce de son initiative seule ou est-ce induit par celui qui écoute ? Qui produit le parlé ? Celui qui parle ou celui qui écoute ? Est-ce parce que quelqu’un écoute qu’on parle ou est-ce parce qu’on parle que quelqu’un écoute ? qui sommes-nous, après tout pour décider que telle parole est oiseuse » et que telle autre ne l’est pas ? II/ Parler pour dire » a Pourquoi parle-t-on ? – La parole se veut sérieuse » cf. les termes animaliers » pour désigner le bavardage. On ne cherche pas à s’évader de la réalité, mais à la rejoindre, à la comprendre, à agir sur elle. Parler, c’est transmettre un message à autrui, déployer une intention active et consciente de communication, c’est la fonction référentielle du langage comme le décrit Jakobson – ou dénotative » le message est centré sur le référent ; le langage parle du monde ». Nous parlons pour dire quelque chose Parler, au sens large = utiliser une langue, pas nécessairement oralement, pour communiquer. Une langue est un système de signes qui sert à communiquer Ferdinand de Saussure. Nous parlons pour communiquer, c’est-à-dire transmettre par un canal à un récepteur un message au sujet d’un référent. Ce message n’a-t-il pas un sens ? En règle général, donc, parler, c’est dire quelque chose à quelqu’un. b Ce message pour ne pas être vide doit respecter certaines conditions. Toute parole ,pour ne pas parler de rien, doit s’exprimer de façon claire et argumentée. En ce sens, si ce qui se conçoit bien s’énonce clairement », une parole pour ne pas être palabre, ou verbiage doit contenir un minimum de rhétorique. Si le rien est le contradictoire, alors pour parler de quelque chose, il faut les respecter les règles de tout discours cohérent. Cf. Organon Aristote. c La parole authentique se distingue de l’opinion. Elle s’assume, se défend, s’argumente. Elle ne craint pas les oppositions car elle est construite et claire. Ainsi parler c’est risquer le dissensus, le désaccord, le conflit. C’est non seulement discuter mais aussi disputer. C’est fuir les stéréotypes, les lieux communs pour une parole authentique, personnelle. C’est parfois être le seul à défendre ses idées contre tous. Cf. Montaigne, Voltaire, Zola, Martin Luther King… Objections-Transitions Cependant cette critique du bavardage et cette valorisation d’une parole dont la fonction serait de dire quelque chose présuppose d’une part que celui-ci se servirait à rien et ne signifierait rien, d’autre part que elle-là n’aurait d’autre fonction, pouvoir que de véhiculer une information. Ce serait à condition d’omettre les différentes fonctions de la parole. Ainsi même si son objet peut être irréel mythe ou fable, c’est-à-dire rien qui n’existe, la parole, en ne disant rien, peut servir plus efficacement les buts pédagogiques ou didactiques par exemple. Plus généralement, aucune parole n’est neutre mais vise l’efficacité Les techniques modernes de communication cherchent à agir sur autrui, la science parle en langage mathématique, condition d’une action sur les choses. La parole revêt elle aussi, par son souci de sérieux, souvent un caractère anonyme, impersonnel la propagande, la publicité, le langage scientifique et technique… On se sert souvent du langage pour communiquer des données impersonnelles ; la communication sociale nous fait participer à un monde commun, mais ce monde est un monde de concepts et non de consciences. La caractère impersonnel du bavardage pourrait donc n’être qu’une caractéristique plus essentielle de toute parole publique. De plus, le langage devrait-il toujours servir à dire quelque chose » ? Sommes-nous sûrs dès lors que nous disons toujours quelque chose lorsque nous parlons ? Que dire alors de ces formes de langage comme la poésie dadaïste par exemple ? Ou encore de ces chansons dans une langue inconnue ? De la musique même ? III Les fonctions d’une parole authentique a- la communication d’un message ou l’expression d’un sentiment n’est pas la seule fonction de la parole Outre le fait que certaines parole soient insignifiantesc’est-à-dire sans importance ou hors de propos ou même incohérentes le cas du délire, certaines fonctions du langage ne visent pas directement à transmettre un sens Cf. les différentes fonctions » du langage selon Roman Jacobson Parler peut être un moyen d’établir le lien préalable à toute communication. C’est la fonction phatique établir le contact entre l’émetteur et le récepteur, attester d’une reconnaissance réciproque. Ex. Allô ? ». Dans ce cas, je ne parle pas pour dire quelque chose mais avant de dire quelque chose pour m’assurer que quand je dirai quelque chose, mon message sera bien transmis c’est une des fonctions du bavardage. => Mauss don Parler peut aussi consister à faire quelque chose plutôt qu’à dire quelque chose conative. C’est la fonction performative Austin. Dire je te promets de venir demain », ce n’est pas simplement communiquer l’information que je viendrai, c’est aussi faire la promesse de venir. Il n’y a pas d’autres façons de promettre que de dire que l’on promet d’où le titre de l’ouvrage de Austin Quand dire, c’est faire. Parler peut enfin consister à créer des formes. C’est la fonction esthétique créer un univers poétique. La forme du message est alors plus importante que le contenu du message. Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » n’est pas équivalent à je suis très triste ». Le poème n’informe pas sur les états d’âme du poète, mais crée un univers poétique indépendant du sens propre. C’est particulièrement évident dans le cas des poèmes de Mallarmé du fait que leur interprétation littérale est impossible. //fin en soi En outre, la parole peut également ne rien dire au sens où elle est circulaire ou elle parle d’elle-même jusqu’à ne désigner rien d’autre qu’elle-même. C’est la fonction métalinguistique » le message est centré sur le langage lui-même les grammairiens, les linguistes décrivent le fonctionnement du langage, on fait jouer la fonction métalinguistique lorsqu’on explicite ce que l’on dit je veux dire… », c’est-à-dire… », en d’autres termes… » b – Enfin, toute parole n’a-t-elle pas un sens malgré tout ? 1- La parole insignifiante peut avoir plus de portée qu’on ne pense. •Le sens ne dépend pas seulement du locuteur mais aussi du récepteur. Si autrui pourrait considérer qu’on parle pour ne rien dire alors que nous voulons dire quelque chose, c’est donc que le sens est une construction commune. Il n’y a pas de parole solitaire, de sens sans échange. Parler c’est aussi s’assurer qu’on est compris, et écouter c’est permettre à l’autre de parler aisément. En ce sens, les discours totalitaires parlent pour ne rien dire car ils n’attendent pas de dialogue, ne proposent pas une construction commune. • Le langage comme système de signes est un système d’oppositions qui confère à ses éléments un sens par le simple jeu des relations et des différences entre ces éléments. Le meilleur exemple en est le S+7 inventé par Queneau. Si dans un texte on remplace tous les substantifs par le septième substantif qui le suit dans un dictionnaire, le texte obtenu n’a pas de sens, il est absurde. Et pourtant, il n’est pas totalement privé de signification. Les associations arbitraires créées par le jeu des substitutions évoquent chez l’auditeur des sens insoupçonnés qui charment, font sourire ou inquiètent. Le surréalisme d’un Paul Eluard la terre est bleu comme une orange en est l’illustration. 2- La parole, délirante ou non, peut avoir un sens inconscient Cf. les thèses de Freud 3- Même quand on communique pour d’autres buts que simplement dire quelque chose, on dit toujours quelque chose. -son âge, son humeur, son statut social, ses origines, sa volonté d’appartenir à un groupe… Cf. Ernaux, Maupassant, Hugo, Bourdieu… On ne pourrait donc avoir accès à la totalité de la parole, à son authenticité qu’à condition de lâcher du lest au vouloir dire, de ne pas la réduire à la fonction référentielle mais de lui permettre de s’ouvrir un champ des possibles de l’esthétique, inconscient, social, voire religieux. Ainsi, il semblerait qu’on puisse tomber dans deux excès ne pas prendre la parole au sérieux bavarder ou bien l’asservir au sérieux ne parler que pour dire, instrumentaliser la parole. C’est de ce constat que nait le besoin d’éprouver la fécondité du silence les grandes spiritualités nous invitent à faire l’expérience du silence bouddhisme zen, monachisme chrétien. On parle souvent pour éviter l’indiscrétion du silence », on a peur du silence, de l’inquiétante étrangeté » du rien ». On trouve le concept d’aphasie dans la philosophie grecque antique, notamment chez Pyrrhon d’Elis. Celui-ci enseignait que l’essence des choses est indéterminable et indicible. L’aphasie est donc le fait de ne rien pouvoir dire sur les choses. Le fait que les jugements contraires ont exactement la même force conduit Pyrrhon à l’absence totale d’opinion et à l’absence de parole vraie. Plus généralement, avant de combler le vide par du rien, les sagesses nous invitent à apprendre à écouter autrui et le monde, pour voir » et non pour comprendre » ou pour agir » ; abandonner un peu la raison raisonnante » pour entrer en résonnance ». S’il est possible de vouloir ne rien dire, il est impossible de ne rien dire du tout à partir du moment où l’on prend la parole. Toute parole échappée laisse échapper du sens. On ne peut ne rien dire qu’en se taisant. Mais même se taire peut vouloir dire quelque chose ex. la minute de silence, un silence en dit long »…. Le Deal du moment Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal 1920 La clôture de séances Un temps révolu Fin de saison L'hiver 1920 2 participantsAuteurMessageAmanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Lun 18 Sep - 2135 Depuis la journée où elle était passé de malchance en malchance, deux jours avaient passé et bien heureusement, elle n’avait rien attrapé de grave... Elle n’était restée enrhumé qu’une seule journée. Mais cela aurait put être prévisible, elle n’avait jamais était quelqu’un qui tombait facilement malade... Étant plus jeune, elle le regrettait, car cela l’obligé à aller à l’école, mais maintenant, elle trouvait cela bien pratique d’avoir une constitution aussi forte à la maladie pour en revenir au travail, elle avait eu son père la veille de ce jour, pour lui annoncer son prochain service... Elle espérait que cette fois cela se passe mieux que la dernière... Elle n’avait pas encore envie d’avoir à faire à un même type que ce Rat’ répugnant...Il lui restait encore deux jour avant son prochain travail, et elle n’allait pas les passer à rester chez elle, enfermé,... Tout était prêt, elle n’avait qu’à attendre, mais elle en avait marre d’attendre calfeutrer dans son elle décida de sortir, la nuit était tombée, elle aurait pu aller au bar clandestin de son père, mais elle n’avait pas envie d’y voir son père...Elle pensa à son frère, mais celui-ci c’était fait discret ces derniers temps et elle savait qu’il ne valait mieux pas le déranger...Elle finit donc par prendre le chemin du parc, pour aller jusqu’à la ménagerie...Avançant devant les cages, cela lui rappeler quelques souvenirs très vague de sa toute jeune jeunesse...Tout en marchant, elle respirait l’air glacial du coeur de la nuit, qui la fit légèrement frissonnait. Puis elle s’approcha d’une cage... Celle de la panthère... Elle trouvait cet animal, magnifie et l’observa faire ses va-et-vient dans la cage. Il n’y avait personne dans l’allée où elle se trouvait et peu de monde devait se trouver dans le parc en plein milieu de la nuit. Elle se permit alors, de sourire, un sourire assez triste et discret. Mais qui marqua ses lèvres un court instant... Comme le fugace souvenir qui avait fait émerger ce rare sourire...[Réservé...]_________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Lun 18 Sep - 2155 *Seal était la, une fois de plus dans l'ombre... Il n'y avait personne selon elle, elle en sourit meme, visiblement traverser de souvenir. L'ombre était la pourtant, vétu de son imperméable, veillant sur elle dans l'ombre au cas ou. Les animaux dormait, sauf la panthére. Elle faisait des vas et viens dans sa cage, cherchant surement un moyen de s' une mains sur son chapeau il pris un inspiration ample et sortie de l'ombre sans bruit, son oeil balafré cacher sous l'ombre de son borcalino*Bonsoir Donzelle... ce n'est pas prudent de traiter la nuit vous savez...*Il n'avais pu s'en empécher, il avait eu sa voix sombre, caverneuse et pourtant cette fois elle tentait d'etre douce. Il s'approcha doucement, restant dans l'ombre de son chapeau, si elle le voyait lui et sa tete de baroudeur elle allait sans doute s'en retourner et le laisser ainsi seul sans lui avoir fait entendre le doux son de sa voix.* Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Lun 18 Sep - 2228 Son faible sourire disparu aussitôt qu’elle entendit la présence de l’homme qui s’adressa à elle aussi familièrement...Elle détourna ses yeux sombre de la cage, pour les porter sur l’homme inconnu. Son regard était redevenu aussi dur qu’à l’ordinaire, elle se retourna complètement, pour s’asseoir sur le rebord de la rambarde qui entourait la cage de la panthère...Elle était calme, malgré qu’elle se sentait insulté par cette phrase, et cela autant par le mot 'Donzelle', que par le fait qu’il n’était 'pas prudent de traîner la nuit'." Mademoiselle est plus appropriée que donzelle quand on s’adresse à une femme et cela quelle qu’elle soit... "Sa voix était ferme et dur." Quant à la prudence qu’il faut que je prenne la nuit, c’est à moi d’en décider...Seriez-vous mon agresseur potentiel, monsieur ? Pour ainsi vous adresser à moi...Dois-je me méfier de vous ? "Assis sur la rambarde, les mains la tenant de chaque côté et les jambes croisées. Elle était calme et ne montrait aucune peur d’être agressé ou d’être confronté à un quelconque panthère, tout en tournant, regarder les deux personnages, comme attiré par leur conversation ou peut-être ennuyé... Qui pouvait savoir ce que pouvait penser ce fauve...?Mais sur Amanda, cela eu pour effet de lui faire sortir souvenir et autres mauvaises pensées de son esprit, en tout cas pendant un temps..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 19 Sep - 1952 *Le visage sans expréssion apparue quand il releva la tete, ses yeux pouvais sans doute exprimer un peu de gene, lui et les femmes ça faisait deux depuis toujours. D'ailleur c'est pour ça qu'il ne l'avais pas approcher avant.*Heu pardon... mais vous savez, mademoicelle ne convien pas non plus quand on s'adresse a la plus belle créature de cette planete...*Enlevant son chapeau comme marque de respect il devoila sa face peu gracieuse et répond simplement la regardant droit dans les yeux.*Non, de moi aucun risque, depuis le temp que je vous regarde de loin et si je vous voulais quelconque malheur je l'aurait fait depuis longtemp... Non, je préfére vous proteger dans l'ombre, mais se soir j'ai eu envie de vous parler et d'entendre votre voix. Mon entrée en matiere était pitoyable j'avou... mais bon, je suis pas trop du genre latino torride... déja je correspond pas au profil...*sa voix était toujours aussi grave et s'approchant il dépose un genoux au sol et prend la main de la demoiselle en murmurant.*Bonsoir Mademoiselle... et pardon... Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 19 Sep - 2058 Amanda ne le quitta pas des yeux une seconde quand il se déclara à elle. C’était brusque, inattendu... Et peut-être quelque peu déstabilisant sur le moment, mais elle ne laissa rien paraître et resta aussi froide qu’à son recherchait réellement cet homme, voilà la question principale qui se souleva dans son propos la rendait méfiante... Elle ne se rappelait pas l’avoir vu et lui pourtant semblait l’avoir vu à de nombreuses reprise... Qui était-il ?Puis celui-ci eu un geste encore plus étonnant, en déposant un de ses genoux à terre et en lui prenant la main... Un geste qui lui fit perdre légèrement l’équilibre qui la maintenant assis sur la rambarde, sans pour autant la faire mots murmuraient de l’homme, eurent pour effet après son long discours, de vouloir la faire rire... Elle se retient, mais de force, à ne pas rire, ni montrer aucun signe de cette envie, retirant vivement sa main de celle de l’inconnu." Je suis désolé de vous décevoir Monsieur l’inconnu, mais mon cœur restera aussi solitaire que celui de cette panthère... "Avait-elle dit en descendant de son assis dans un léger bond et en ce retournant vers le fauve qui la regarda un instant dans les yeux avant de reprendre sa marche." Mon cœur est définitivement fermé, votre tentative était veine... Mais je vous admire d’avoir quand même essayé. "Elle avait dit ses derniers mots sans poser un seul regard à l’homme. Comme indifférente et détaché de tout ce quil avait put lui dire jusquici...Elle avait déjà refusé quelques avance depuis la mort de son ex-fiancé. Mais c’était sûrement de sa faute, il lui avait retirait toute confiance en ces êtres masculin et sournois. Elle ne se voyait vraiment pas un jour retrouver ne serais-ce qu’une once de confiance envers la gente masculine... La seule personne en qui elle pouvait encore avoir une totale confiance était son frère et uniquement lui..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 19 Sep - 2202 Seule comme cette panthere? *l'homme au regard sombre rit doucement, cachant a l'aide de ses cheveux son oeil. Il regarda la panthere souriant comme si pour lui c'était quelque chose de magnifique, comme un poeme, ou une oeuvre d'art. Se tournant vers elle il explique son rire.*Cett panthere est un mal... loin d'etre solitaire, sa compagne a mit bas il y a quelque temp et il est pere de famille... *il eu le malheur de croiser son regard, son oeil presque blanc visible au travers des quelque meches.*Et comment pouvez vous dire que votre coeur est ferme? Vous savez la prérogative des femmes c'est changer d'avis parait t'il... Donnez moi une chance de vous prouvez le contraire? A moin bien sur que se soit la peur qui vous fasse refuser une invitation a diner...*glissant ses mains dans ses poeches il le regarde calmement, protecteur malgrés sa voix toujour aussi étrange.* Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 19 Sep - 2322 Elle aurait voulut sourire, à la remarque sur la panthère, mais elle ne fit rien... Un mâle oui, une famille non, cette panthère n’en avait pas... Venait-il de Kanst ? Cela elle en doutait... A moins qu'il joue un yeux se tournèrent un instant en direction de cet homme, son insistance, la rendait curieuse, se posant davantage de question sur cet homme...Se méfier t’elle ? Oui, ce remémorant les souvenirs de sa première rencontre avec Joe et la fourberie dans laquelle il l’avait mené pendant une bonne année, avant qu’elle ne se rende compte que ce n’était qu'un moins que rien, qui ne l’avait pas séduite par amour, mais pour obtenir ce dont il avait besoin... Et même après l’avoir tué, elle éprouvait encore de la rancœur envers lui. Elle se disait parfois qu’elle aurait du prolonger sa mort, cela l’aurait peut-être apaisé davantage...Les femmes changent d’avis, sûrement autant que les hommes, tout le monde à bien une fois dans sa vie changée d’avis, ceci n’est pas le privilège des femmes...Mais ce qui la fit le plus réagir, c’est la peur, la peur qu’il mentionna. Oui, elle l’avait bien deviné, elle aussi. La peur de recommencer les mêmes erreurs et de retomber dans les filets d’un homme sans scrupule. Mais elle ne pouvait lui avouer aussi ouvertement, ce serait une est vrai, qu’elle n’était plus sortie avec un homme pour le simple plaisir, mais seulement parce qu’il y avait quelque chose qui pouvait lui être donné en retour, comme des informations en tout genre... La séduction était parfois utile pour obtenir ce que l’on voulait, mais elle n’en avait jamais usez, car elle n’aimait pas jouer devant ses larves masculines... Préférant des affaires d’un autre ordre que celui des informations..." Mon cœur est fermé, car la clef de celui-ci est tombée dans la rivière... "Sa réponse à la première question de l’homme n’était pas fausse. Elle, elle avait eu la vie de Joe et lui, dans sa mort lui avait volé la petite clef de son cœur." C’est une manière comme une autre de m’inviter à dîner... Mais je ne peux pas accepter aussi simplement, car cela vous donnerez raison trop facilement... "Toujours aussi froide, elle n’avait pas donné de réponse concrète. Elle se rassit sur la barrière, et passa ses jambes de l’autre côté. Elle se retrouvait maintenant entre la rambarde et la cage de la bête noire. Celle-ci, en la voyant s’approcher, c’était arrêter dans sa marche et observait était restée silencieuse, un moment, immobile, la belle et le fauve se jaugeant du regard, puis, comme si elle avait réfléchi, elle se retourna brusquement vers l’inconnu, faisant dos à la panthère. Était-elle insouciante de tourner le dos à une telle bête aussi près de la cage ? Oui et non, elle en avait conscience, mais cela ne la dérangé pas..." Peut-être arriverais-je à me décider si vous me disiez au moins votre nom ? Car depuis le début j’ai l’impression que vous en connaissez bien plus sur moi que je n’en connais sur vous... "Elle se rapprocha d’un pas de la rambarde de sécurité en direction l’homme." Et cela peut vouloir dire deux ou trois choses... "Elle Laissa sa dernière phrase en suspend, elle en avait dit suffisamment..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 016 *Il sourit, la regardant faire, finalement elle n'était pas si froide. La regardant encore un moment il murmure.*Seal... tout simplement Mademoiselle Amanda.*Il avait envie de lui dire toute les choses qui lui passait en tete, mais c'était mal. Elle ne l'aurait surement pas bien pris et ce n'était pas le but de l' une main dans ses cheveux il remit son chapeau.*Pour ce qui est de la clée je peu toujours chercher, ça ne me gene pas. J'ai du temp et de la patience...*c'était imager, au propre et au figurer bien sur. Se redressant de toute sa hauteur il ne semble pas inquieter.*Si vous voulez en savoir plus sur moi hésitez pas... je répondrais a coeur ouvert. *depuis le temp qu'il voulais juste l'aborder.* Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 1150 Elle restait sur la défensive en attendant le nom de l’inconnu ainsi que le sien prononcé à la suite. Il la connaissait, mais par quel biais ? il n’y avait plus que, deux possibilités, vu sa manière d’agir. Mais elle ne voulut pas réagir tout de suite, laissant le dénommé Seal continuer...Il continua en parlant de la clef qu’elle prétendait avoir perdu... Cette clef du cœur, invisible et pourtant loin d’être irréel en tout point." Faites comme bon vous sembles, mais n’aillait pas peur de tomber contre un mur... "Pour elle, en cet instant, il était impossible qu’un jour les chemins de son cœur soit réouvert... Alors les propos de l’homme ne l’inquiétait pas...Puis il finit enfin sur une phrase ouverte, qui pouvait ouvrir une discussion, mais quand elle vint à vouloir poser sa question, elle se rapprocha d’abord de cette nouvelle rapprochant assez près, sa main gauche venant prendre le menton de ce Seal et son regard plongé dans le sien, elle posa enfin sa question..." Alors, es-ce mon père qui me fait surveiller ou es-ce ses ennemis...? "Oui, elle avait du mal à croire que cet homme ait agi de son propre chef, il faut dire qu’elle était toujours davantage méfiante avec ceux qui essayaient de la séduire, plutôt qu’avec ceux qui voudraient la tuer...Mais elle ne lâcha pas Seal, et son regard ne se déroba pas, attendant une réponse de celui-ci..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 1414 *Elle le tenais, l'obligeant a la regarder droit dans les yeux, il s'était meme un peu pencher pour la laisser faire. Murmurant simplement.*Si c'était ton pere je serait tomber bien bas d'accepter juste pour te voir... Et si c'était tes énnemies je pense que j'aurait été plus malin et j'aurait surement moin peur qu'on me liquide si on me voix avec toi.*Il la regarda doucement, prenant sa main pour la faire lacher son menton.*On vas dire que tu me plaid depuis pas mal de temp mais que je penssais que c'était pas le moment d'arriver et de te dire. Bonjour ma belle je travail pour l'enemie, je sais bien pour ton ex mais tu vois je suis pas vraiment parreil, je met ma peau en danger deux fois par semaine juste pour te regarder faire quelque pas en ville tu ne m'as jamais remarquer mais j'ai été entrainer pour ça. Tu veux pas diner? ...Tu m'aurai ou pris pour un fou ou bien mit une balle entre les deux yeux. Enfin si c'est pas toi se serons mes boss... de toute façon je m'en tappe.*Il déposa ses levres sur la main de la jeune femme.*Voila, ça vous vas? si vous voulez je vous donne meme mon nom de famille, pourrez faire des recherchent... Seal Cooper. *Il lacha la main de la belle, lui souriant doucement, meme si sa voix était rester tres froide.*Et réfléchisser, qui serais assez fou pour venir sans arme vous déclamer sa flamme si ce n'est un timbrer donc de toi? enfin, cherche pas j'ai compris le message, dégage le brun ta tete me reviens pas. *Il mis ses mains dans ses poches, se renfrognant En se retournant vers la cage et en regardant la panthere. Il en avait trop dit et il le savait.* Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 1535 Il n’avait pas tort pour son père et ses ennemis, mais ce n’est pour autant qu’elle acquiesça à cette remarque. Il dégagea ensuite sa main de son menton, puis il lui sortit tout un discourt. Qui était pour tout dire, assez intéressant, à écouter. La laissant interdite un moment devant ses révélations...Devait-elle réellement croire à tout ça ? Elle ne savait pas, c’était tellement inimaginable... Oui, c’est vrai qu’il aurait put paraître fou avec de tel remarque. Et son discours pourrait prendre un autre sens s’il était réellement fou... Pourtant, elle n’arrivait pas à le voir comme un fou. Peut-être pendant une seconde pour un inconscient, mais pas pour un fou...Toujours immobile, elle reçut son baisemain, elle n'y fit pas vraiment attention. Ses yeux c’était tourné vers le sol, elle réfléchissait à tout ça...Puis il lui demanda si cela lui allait... Lui donnant par la même occasion son nom au complet, pour quelle puisse faire des recherches, si cela lui disait...Et, en lâchant enfin sa main, il lui lança une dernière remarque, et elle redressa enfin la tête. Regardant cet homme, qui était maintenant tourné vers la cage et sa bête...Elle tourna aussi son regard vers la panthère avant de lui répondre après un court silence." Je n’ai rien à reprocher à votre tête... Et vos propos ont au moins le mérite d’être je l’apprécie... "Elle se détourna du fauve pour le regarder et lui dire tout simplement, mais avec toujours la pointe de froideur qui la suit dans tout propos" J’accepte...J’accepte votre proposition à dîner. Mais je ne veux pas faire de mal à mon père, alors je vous propose plutôt un pique-nique, hors de la ville... "Elle n’en revenait pas de qu’elle venait de dire, que cherchait-elle en agissant de la sorte. Était-elle stupide d’accepter un rendez-vous avec l’ennemie ? Oui, peut-être, mais cet homme, Seal de son prénom, l’avait intrigué par sa manière d’agir dans ses paroles. Et malgré qu’elle n’ait pas un tempérament curieux, elle éprouvait comme un besoin d’en savoir plus..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 1747 *Elle s'était s'était donc décider a lui donner une chance, regardant encore un long moment l'animal il semblait penssif. Puis il se décida a lui répondre enfin, elle avait parler d'un pique nise... pourquoi pas apres tout.*Hum... ça me vas, meme si il fait pas chaud ça peu toujour etre agréable...*L'homme la regarda doucement lui proposant son bras.*Vous voulez faire un petit bout de chemin ensemble? ou sinon vous me donner l'heure de notre pique nique et je me sauve. Je n'aimerai pas vos causer des ennuies...*remettant son chapeau pour se cacher il semble avoir un léger sourire au levre, ombre? ou réalitée?* Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mer 20 Sep - 1850 Après la réponse de Seal, elle détourna son regard de lui et le reposa sur la bête qui avait depuis, reprit sa marche toujours observatrice des deux individus qui se trouvaient devant sa cage...Il est vrai que ce n’était pas le meilleur temps pour un pique-nique, mais cela valait mieux quun restaurant, ils avaient moins de chance de croiser quelqu’un et de se mettre dans une situation lui proposant son bras tout en lui demandant si elle voulait faire un bout de chemin ensemble, elle dut refuser..." Je crois que notre entrevue pour ce soir est suffisante... Et cela autant pour vous que pour moi. "Elle se rassit une nouvelle fois sur la barrière, repassa ses jambes de l’autre côté, pour se retrouver du même bord que l’homme. Elle faisait dos à la cage et était appuyé contre la rambarde." Si vous voulez une heure, je vous donnerais celle de onze heures à l’orée de la forêt, demain...J’espère que cela vous convient. "Vu qu’elle avait deux jours de libre avant sa prochaine affaire, et qu’elle n’avait rien à faire de particulier pour les remplir, autant qu’elle en profite. Car après qui sait ce qui pourrait se passer...Elle avait bien loupé la dernière, et elle ne comptait pas échouer dans celle-ci. Il fallait qu’elle rattrape le coup, et cela plus pour elle que pour son père..._________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Seal CooperMembre du gang CaldesNombre de messages 19Age 120Surnom Two handDate d'inscription 04/09/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 3 Oct - 1255 *Seal regarda la jeune femme l'écoutant avec attention. S'inclinant en relevant son chapeau d'une main il resta glacial quelque part, répondant d'une voix toujour aussi caverneuse et grave.*Demain? j'y serais... et je vous y attendrais jusqu'as se que vous y soyez. D'moiselle Amanda, aurevoir...*lentement il fit quelque pas en arriere, disparaissant dans l'ombre des cages, il n'était plus visible, et lentement s'en allais rejoindre les rues. Il surveilla pourtant encore un temp la femme au regard si dur. Elle avait du souffrir beaucoup, mais seal était du genre tetu. Dans un bruit de manteau long il fini par partir, sortir du parc... démain serait un autre jour apres tout.*[La suite dans De sortie...] Amanda TiwoldFille du chefdu gang TiwoldNombre de messages 253Surnom AmyDate d'inscription 15/02/2006Sujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Mar 3 Oct - 1454 Oui, elle aussi y serait, même si elle ne trouvait pas ça très prudent de sa part, mais d’un côté, elle ressentait le besoin d’en savoir plus, malgré tout ce qu’il lui avait déjà dévoilé. Et même si elle pouvait encore se retrouver avec d’autres problèmes suite à cette histoire... Que ce soit avec le gang adverse, qu’avec son propre père...Elle le regarda ensuite s’éloigner jusqu’à ce qu’il disparaisse de sa vision, puis elle se retourna vers la cage et regarda la panthère qui s’était arrêté comme pour un nouveau duel de leurs regards... Restant ainsi quelques minutes..." Ai-je eu raison d’accepter une tel folie ? "Elle savait parfaitement que le fauve ne lui répondrait pas, mais elle lui avait quand même posé la question. Puis l’animal, fatigué tourna sur lui-même pour se préparer à dormir..." Tu as raison, une bonne nuit de sommeil, vos mieux qu’une nuit de réflexion inutile... "Elle se redressa s’éloignant un peu de la cage, avant de se retourner et de lui lancer un " Merci " discret, pour ne pas perturbait son sommeil reprit ensuite le chemin de son appartement... Traversant les ruelles sombres, mais tout de même bien éclairé par l’éclairage public qui s’y trouvait. Croissant quelques passants, encore de sortie en cette heure tardive...[La suite dans De sortie...]_________________La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. Contenu sponsoriséSujet Re [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage [La ménagerie] Une nuit sauvage en cage Page 1 sur 1 Sujets similaires» La ménagerie en images...» Il faisait nuit et...» [La gare] Par une nuit sans étoiles...» [Les rues et ruelles] Quelques pas dans la nuit» [L'hôtel Atlantis]Cherche une chambre pour la nuit voir plusPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum1920 La clôture de séances Un temps révolu Fin de saison L'hiver 1920Sauter vers

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