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Bergson, La Pensée et le Mouvant La connaissance de la doctrine de l’auteur n’est pas requise. Il faut et il suffit que l’explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du
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Citationssur commentaire du texte de Bergson sur l'art : La lecture véritable surpasse le texte qui est lu, brise ses marges, va plus loin. Le texte est un supprot presque miraculeux pour que la
Stage- Explication de texte : La pensée et le mouvant, Bergson : accédez au QCM de ce cours du chapitre Explications de texte en Philosophie Terminale.
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Bergson– La pensée et le mouvant – Introduction, « Le Mouvement rétrograde du Vrai »«. Telle est, consciemment ou inconsciemment, la pensée de la plupart des philosophes, en conformité d’ailleurs avec les exigences de l’entendement, avec les nécessités du langage, avec le symbolisme de la science.
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Répondre 1 on une question : Bonjour, j'aurais besoin d'aide svp Je n'arrive pas à faire cette explication de texte de Henry Bergson, La Pensée et le Mouvant.. Poser qu'un événement se produira au bout d'un temps t, c'est simplement exprimer qu'on aura compté, d'ici là, un nombre t de simultanéité d'un certain genre. Entre les simultanéités, se produira tout ce
Mfe8N. I - LES TERMES DU SUJET Il s'agit de la fonction ou de l'effet de l'art, au sens des "beaux arts". Il y a donc là les éléments d'une théorie esthétique. La thèse centrale tourne autour de l'idée de révélation, au sens photographique du terme. Il y a là une métaphore, dont il convient d'analyser toutes les implications. II - STRUCTURE DU TEXTE La structure n'apparaît pas au premier coup d'oeil les transitions et les articulations logiques ne sont pas marquées grammaticalement. Il faut ainsi identifier un mouvement logique essentiel dans le passage de la deuxième à la troisième phrase le "certes" est suivi d'un "mais" implicite. La thèse est donc la suivante l'artiste est un révélateur, au sens où il fait apparaître des réalités qui sans lui seraient demeurées invisibles et inconnues ; il ne les crée pas, cependant il les fait advenir à la lumière. Il y a donc, dans la création esthétique, une sorte de dialecte où le donné commun et universel, le fond préconscient ou inconscient de l'humanité, se transfigure en réalité consciente et appropriée par la volonté. III - LES GRANDES LIGNES DE REFLEXION A - Explication et illustration du concept de l'artiste-révélateur. En particulier, puisque c'est là, pour BERGSON, l'exemple par excellence de la création artistique, analyse du travail du peintre figuratif à la fois "imitation", donc passivité apparente face à un réel donné, et transposition créative, mise en lumière de ce qui avant le travail de représentation, reste dans l'obscure présence de l'immédiateté. B - Mise en perspective de cette doctrine esthétique la réhabilitation de l'imitation répond à sa dévalorisation platonicienne, dont il convient de rappeler les fondements. IV - UNE DEMARCHE POSSIBLE A - BERGSON cherche à repenser les rapports entre l'art et le réel, et à dépasser les trop simples oppositions construites par la tradition philosophique. L'artiste, selon BERGSON, est à la fois dans le réel et au-delà du réel. La première caractéristique de l'oeuvre d'art - qu'elle soit, d'ailleurs, celle de l'artiste ou celle de l'artisan - est d'ajouter quelque chose au réel. ARISTOTE définissait déjà l'art comme le processus par lequel l'homme prolonge et augmente la nature en y ajoutant ce qu'elle ne produit pas d'elle-même. Concernant le travail propre de l'artiste, SARTRE, dans L'Imaginaire , décrit le travail de l'imagination créatrice comme un travail de "néantisation". La conscience se révèle dans l'oeuvre d'art en particulier, capable de réduire à néant le réel pour le reconstruire différemment. Cependant, si l'on s'en tenait à ce seul aspect de la création, le travail de l'artiste apparaîtrait comme le résultat d'une fantaisie arbitraire, close sur elle-même et entièrement coupée de la réalité. Contre une conception gratuite de l'oeuvre d'art, BERGSON souligne le rapport profond et paradoxal que l'oeuvre d'art entretient avec le réel. Il y a bien, à un niveau qui échappe au premier regard, une "vérité" de l'oeuvre, une adéquation entre l'oeuvre et le réel. Mais cette adéquation n' est pas une simple répétition du réel. "L'art, écrivait Paul KLEE, ne reproduit pas le visible, il rend visible". C'est ce "rendre visible" qui sous-tend le texte de BERGSON. Il existe un fond inconnu ou méconnu de l'existence humaine, "des nuances d'émotion et de pensées ... qui demeuraient invisibles", qui sont présentes mais qui ont besoin de l'artiste pour devenir conscientes. On songera, pour illustrer cette thèse, à l'art dont les développements s'annoncent à l'époque de BERGSON après l'impressionnisme et le fauvisme, le cubisme mène à son terme la transposition subjective du réel qui tout à la fois recueille le réel dans son apparition, et révèle l'humanité sans laquelle le réel resterait inerte et invisible. B - On aperçoit, derrière l'analyse de BERGSON, le désir de réconcilier l'art et la philosophie, en appréhendant l'oeuvre d'art comme un moyen différent mais tout aussi essentiel de faire advenir une vérité. Ce désir est aussi ancien que la philosophie, et il est à l'origine d'un non moins ancien et douloureux déchirement depuis PLATON, qui détruisit ses premières tragédies et projeta d'exclure les poètes de la cité idéale, l'art apparaît souvent à la philosophie comme un parent honteux, une tentative avortée avantageusement supplantée par la science et la philosophie. Qu'il s'agisse de KANT - qui montre que l'oeuvre d'art n'est pas soumise à une exigence de vérité et d'adéquation, et qu'elle ne vise qu'au plaisir de la contemplation - ou de HEGEL - qui circonscrit la pertinence de l'oeuvre d'art, du point de vue de l'expression de la vérité, à des contenus historiquement dépassés -, la philosophie semble répéter sur tous les modes la sentence platonicienne. C'est de cette tradition que se démarque l'analyse de BERGSON, semblable en cela aux développements contemporains de l'analyse phénoménologique de l'oeuvre d'art, illustrée par HEIDEGGER et par MERLEAU-PONTY. Pour ces auteurs comme pour BERGSON, l'oeuvre d'art est un mode d'accès spécifique et irremplaçable à la constitution même du réel MERLEAU-PONTY montre ainsi, à propos de CEZANNE - et cette analyse pourrait illustrer le texte de BERGSON - que l'oeuvre du peintre saisit, comme ne saurait le faire le discours, l'image en train de se constituer. Elle "révèle" - pour reprendre le terme de BERGSON - le travail du regard et de la conscience dans lequel se donne la constitution du réel. V - DES REFERENCES POSSIBLES - PLATON, La République , Livre X - HEGEL, Esthétique- MERLEAU-PONTY, L'Oeil et l'Esprit VI - LES FAUSSES PISTES Il était important de ne pas se laisser désarçonner par la formulation apparemment peu rigoureuse de BERGSON, et essayer d'identifier, derrière le "mouvant" du style et de la structure argumentative, toute la "pensée" de l'auteur. VII - LE POINT DE VUE DU CORRECTEUR Le texte est difficile, et même peu clair. Il risquait d'ouvrir la voie aux développements les plus rhétoriques et les plus confus. Il fallait donc veiller à être d'autant plus rigoureux que le texte et le thème traités étaient plus "glissants".
Résumé du document L'intuition est la méthode du bergsonisme. C'est par elle que Bergson a mené les recherches et obtenu les résultats que l'on sait, dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience d'abord, en 1889, Matière et Mémoire ensuite, en 1896, et L'évolution créatrice, en 1907. Dans la première partie de l'introduction qu'il rédigea en janvier 1923 pour La pensée et le mouvant, Bergson indique que cette méthode, l'intuition, lui a été suggérée suite à ses découvertes sur la durée, telle que celle-ci lui semblait définir dans l'Essai d'abord notre vie intérieure. Il y a une réalité au moins que nous saisissons tous du dehors, par intuition et non pas simple analyse, c'est notre propre personne dans son écoulement à travers le temps, c'est notre moi qui dure » PM, p. 183. Dans la genèse même du bergsonisme donc, l'intuition s'est trouvée d'emblée en relation intime avec la durée, et si la prise au sérieux de la seconde a précédé celle de la première, il faut dire que l'intuition est une méthode qui est née de la durée, et lui a en fait, de part en part, été coextensive. On le sait, Bergson avoue avoir longtemps hésité avant de choisir ce terme d'intuition pour désigner le renversement de perspective qu'il avait en vue. Intuition, en effet, cela semble renvoyer à une expérience vague et encore confuse, à une expérience non encore complète, en attente d'être rendue pleine voir son statut chez Kant lui-même. Sommaire Commentaire de texte de La pensée et le mouvant, Introduction » 2e partie Extraits [...] Entre ces deux lignes extrêmes, l'intuition se meut, et ce mouvement est la métaphysique même écrivait Bergson en 1903. Insistons pour terminer sur ce point décisif en convoquant à nouveau L'évolution créatrice, chapitre Bergson en appelle ici à l'expérience de la tension et de la détente personnelle. Nous pouvons, dit- il, être plus ou moins tendus ; si nous nous détendons, nous nous replongeons dans une durée où le passé toujours en marche se grossit sans cesse d'un présent absolument nouveau. [...] [...] En revanche si aucune coïncidence n'est une coïncidence pure, les intuitions relèvent toutes de la même notion ; l'intuition de soi est l'intuition référentielle en tant qu'elle n'annule pas la différence que les autres intuitions tendent à réduire. L'intuition de soi par soi, elle qui est avant tout l'intuition, est déjà différence. Pourquoi alors la conscience immédiate de soi est-elle une quasi coïncidence ? Ce que saisit l'intuition c'est le moi en tant qu'il a ou plutôt en tant qu'il est une durée. Cette durée est une continuité, qu'il faut distinguer d'une agrégation la continuité n'est pas la répétition, mais une innovation, innovation qui n'est pas un ajout, mais une croissance par le dedans dit Bergson. [...] [...] Mais pourquoi dire alors que cette métaphysique prolongera la science du vivant ? En réalité ce que dit Bergson, c'est que la métaphysique de la vie prolonge la science du vivant, au sens où celui qui examine la science du vivant est insatisfait par ce qu'elle donne de la vie ; et en ce sens prolonger la science du vivant, c'est à la fois passer par elle et la dépasser ; ensuite si de l'intuition du vital dérive la métaphysique de la vie, c'est que celle-ci est possible en ressaisissant par la conscience l'élan de vie qui est en nous. [...] [...] Or Bergson va livrer ici un élément décisif. En effet, quelle est cette réalité qui n'est unité ni multiplicité, et qui est à la fois ce que saisit la conscience et ce que ressaisit la métaphysique de la vie, ce qui relie l'intuition infra conceptuelle et la spéculation ultra conceptuelle ? Elle est ce qui est déjà métaphysique dans l'intuition, ou ce que la métaphysique récupère de l'intuition. Bergson évoque la nature singulière de la durée en même temps que le caractère essentiellement actif de l'intuition métaphysique Il faut garder la solidarité de ces deux aspect si la durée est d'une nature singulière, ce n'est pas qu'elle est le propre exclusif du moi, mais plutôt qu'elle convient au caractère actif de l'intuition métaphysique. [...] [...] En quoi alors l'inadéquation de la science du vivant sollicite-t-elle la ressaisie par la conscience de l'élan de vie ? Au chap de l'EC Bergson déclare qu'il incombe à la philosophie de rompre avec les habitudes scientifiques, de remonter la pente de l'intelligence pour être sensible à ce à quoi la science est insensible c'est-à-dire au caractère irréductible de la durée, à l'innovation attachée à la durée, à l'imprévisibilité et à l'originalité de ce qu'apporte la durée. C'est à la philosophie dit Bergson qu'il appartient de récupérer ce à quoi l'intelligence donc la science n'accorde par d'attention c'est-à-dire la contingence de l'innovation. [...]
Sujet corrigé de l'épreuve du BAC L 2009 de Philosophie Sujet de dissertation n°2 La langage trahit-il la pensée ? Analyse du sujet Il s'agit de s'interroger sur les rapports entre pensée et langage, avec comme présupposé que la pensée est première et que le langage ne serait que le moyen ou l'instrument de la rendre sensible. A partir d'expériences concrètes incompréhensions, malentendus, termes impropres à exprimer une idée,..., il faudra s'interroger sur les relations entre pensée et langage en déployant les différents sens du terme trahir » s'agit-il de manquer à quelque chose que l'on devrait observer trahir un secret ? De tromper trahir quelqu'un intentionnellement, ou de révéler ce qui est caché ou tu comme un sourire trahit une satisfaction intérieure Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiProblèmes posés par le sujet Attention à ne pas réduire le sujet à peut-on penser sans le langage ? » ou le langage est-il second par rapport à la pensée ? » Les problèmes posés par le sujet renvoient au lien entre pensée et langage, en comprenant le langage au sens large, qu'il s'agisse du langage courant, du langage mathématique ou conceptuel, du langage artistique rappel on parle de système de communication par signaux chez les animaux, pas de langage du fait qu'il n'exprime pas de pensée Peut-on supposer une pensée parfaite, claire que le langage obscurcirait ? Si le langage peut trahir ma pensée, suffit-il de mieux exprimer ce que je conçois clairement ? N'est-il pas de l'essence même de la pensée que de constituer par et dans le langage ? Annonce du plan La pensée comme travail de conception et d'intellection claire et distincte bute souvent sur la langage incapable de la retranscrire le langage me trompe I Un effort d'attention et de recherche de la vérité suffirait alors à produire un discours équivalent à une pensée II Mais il appartient à la nature de la pensée de ne pas exister sans langage, le langage révèle alors la pensée III 1- Le langage, obstacle à l'expression correcte de la pensée A. Le langage trahit la pensée en manquant à son devoir de transcription fidèle des idées a expérience familière de malentendus Rappeler le double sens de malentendu mal exprimé et mal compris. Les mots manquent pour exprimer une pensée pourtant claire à mon esprit. b le langage comme masque de la pensée cf .Descartes pour qui la cause d'erreurs vient de ce que les hommes donnent leur attention aux paroles plutôt qu'aux choses et leur consentement à des termes qu'ils n'entendent point » Principes de la philosophie, §74 c distinction présumée entre activité conceptuelle et transmission langagière Cf. le projet de Leibniz de langage universel où les signes ne renverraient qu'à des formes conçues par l'entendement mal parler, ce n'est pas utiliser des mots de travers mais ne point y attacher d'idées claires » Nouveaux essais sur l'entendement humain le langage trahit alors la pensée parce qu'il n'identifie pas l'idée au mot correspondant d'où le projet de langage universel mathématique B. La pensée se servirait alors du langage comme outil qui lui échapperait a la pensée trahie par le langage, c'est-à-dire trompée cf. les exemples d'ambiguïtés qui viendraient des mots, de leur contexte, mais pas des choses qu'ils sont chargés d'exprimer b la précipitation, facteur d'erreur, de trahison par les mots d'idées claires cf. les dialogues entre Socrate et ses interlocuteurs Gorgias par exemple et le recherche de la définition de la rhétorique Socrate exprime par ses interrogations une pensée que ses interlocuteurs emportés par la passion, défigurent Comment trouver des cours de philo ? 2- Un effort d'attention et de recherche de la vérité suffirait alors à produire un discours équivalent à une pensée A. L'attention à la pensée passe par un travail d'intellection, pas d'expression a Si le langage trahit la pensée, au sens où il manque à son devoir de l'exprimer correctement, il suffit d'une méthode correcte pour réparer cette erreur ». b l'assemblage qui se fait dans le raisonnement n'est pas celui des noms mais bien celui des choses signifiées par les noms » Principes de la philosophie c La trahison du langage par la pensée se corrige » par l'exercice d'une pensée méthodique si je pense correctement, je ne peux que m'exprimer clairement. B. Le langage, un outil à discipliner par un exercice de la raison a la correspondance stricte entre signes et idées Cf. le projet leibnizien de mathesis universalis les mots renvoient à des idées universelles, comme le montre le langage mathématique ce qui fait problème n'est pas le langage mais les langues et un usage erroné de la raison b attacher aux mots des idées claires » Leibniz La pensée se trompe elle-même lorsque la raison divague le langage reflète un mauvais usage de l'entendement qui s'éloigne de la vérité et donc s'exprime par un langage erroné. 3- Il appartient à la nature de la pensée de ne pouvoir exister sans langage, le langage révèle alors la pensée A. Le langage trahit au sens de révèle la pensée, implicite ou explicite a le sens est pris dans la parole » Merleau-Ponty Il n' y a de pensée que parce que le sens se construit avec autrui, la parole n'est pas le signe » de la pensée, elles sont enveloppées l'une dans l'autre » Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception Passer du langage formel à la parole humaine pour montrer que le travail de révélateur de la pensée se fait parce qu'il y a intersubjectivité entre deux êtres de discours b la pensée est inséparable de ce dans quoi et par quoi elle s'exprime cf. l'usage du langage qui construit ou détruit une pensée l'expérience de la promesse ou du mensonge et préciser alors que la pensée est entendue au sens large de tout ce qui se fait en nous tel que nous l'apercevons immédiatement et par nous-mêmes » Descartes et non pure intellection. B. La pensée se déploie dans l'espace du langage, parce que les mots n'ont pas de sens, ils n'ont que des usages » Wittgenstein a revenir sur la pensée comme risque et comme recherche de la vérité au sein d'un dialogue penser, c'est interroger avec d'autres le sens des mots cf. dialogues socratiques b le langage peut aussi révéler une pensée implicite voire inconsciente rappeler la démarche freudienne où le langage est ce qui fait advenir les pensées et désirs inconscients. Conclusion Nous avons tenté de montrer que si le langage peut trahir la pensée, ce n'est pas au sens où il ne remplirait pas une fonction servile de transcription d'une pensée pure, claire et distincte mais que c'est tout le risque du lange de trahir c'est-à-dire complètement révéler le travail secret de la pensée qui prend chair dans l'expérience humaine du dire. On pourrait alors se demander si le langage poétique ou artistique n'est pas le lieu d'une pensée non pas trahie mais servie et déployée dans l'expérience esthétique. Corrigé réalisé par Brice de Villers, professeur de philosophie au lycée Léonard de Vinci, Levallois-Perret.
corrigé explication de texte bergson la pensée et le mouvant