RéservisteCitoyen, le Lieutenant Pascal LIENARD (RC) participe activement au lien armée nation et nous propose la tenue suivante. > "Bonjour Réserviste Citoyen, je participe activement au lien armée > nation. Lors de cérémonies il serait souhaitable que nous ayons une > tenue uniforme. Côtoyant des militaires d'active ,ceux ci sont pour Grandetenue 31 officier France 40 cérémonie 39/40 médecin veste et pantalon. 300,00 € Achat immédiat. FRANCE LIBRE WWII Lot Medecin CEF Liberation Campagne Italie Rare Veste US Chemise Guêtres. 100,00 € Achat immédiat. MINISTÈREDES ARMÉES ORDRE DU JOUR NO 1 =oOo= Aviatrices, Aviateurs, Lorsque l'armée de I 'Air prend son envol en 1934, les aviateurs décident d'une tenue spécifique pour marquer leur singularité, et chorsissent d'orner les boutons de leur veste de cérémonie de deux ailes surmontées d'une étoile. Ce symbole, toujours présent sur Enfin le capitaine Hervé a pris le commandement de l’escadron des systèmes d’information et de communication aéronautiques 1J.113. La cérémonie a été clôturée par un défilé aérien de trois Rafale, un défilé des troupes à pieds, ainsi qu’une démonstration en vol du Rafale Solo Display. Militaired'active, vous avez le droit de revêtir l'uniforme pour cette cérémonie d'hommage. Pour les événements à caractère strictement privé (mariages, funérailles, etc), il n'y a pas besoin d'autorisation spécifique. Il faut simplement porter l'uniforme dans les règles, et dans le respect du port de l'uniforme. mJe1U7. Les uniformes de l'Armée française se distinguent selon l'appartenance du militaire Gendarmerie nationale, Armée de terre, Marine nationale , Armée de l'air. Il faut également distinguer au sein de chacune de ces armées les uniformes de cérémonie, les uniformes de service courant et les uniformes de combat, portés dans des circonstances différentes. Ancien Régime Sous le régime de Louis XIV apparait la première uniformisation des troupes. C'est vers 1680 que débute ce travail du roi et de ses ministres, travail qui avait été déjà pensé pendant la Guerre de Trente Ans. Les uniformes seront majoritairement blanc, bleu et parfois rouge ; couleurs associée à la monarchie française.[1] Premier Empire Restauration Uniformes lors du camp de Saint-Omer en 1827 Costumes militaires français en 1815 maison du Roi Second Empire IIIe République Première Guerre mondiale Uniforme 1870-1914. Uniforme 1915. Les soldats français commencent la Première Guerre mondiale avec les mêmes uniformes que lors de la guerre franco-prussienne. Si ces uniformes convenaient à la guerre de mouvement, pour des batailles rangées ponctuelles, ils se révèlent rapidement bien trop visibles, notamment le pantalon garance de 1867[2] ce qui fait des soldats français des cibles faciles. En plus de cela, la capote bleue de 1877[2] est inadaptée à la vie dans les tranchées, elle ne protège pas du froid l'hiver et se révèle beaucoup trop chaude l'été. L'uniforme est complété par un képi bleu et rouge modèle 1884[3] qui sert de cible aux tireurs ennemis et ne protège pas des éclats d'obus. De nombreux soldats mourront à cause de cet uniforme inadapté dans les premiers mois du conflit. Cela pousse l'État major à changer les uniformes des hommes de troupe en 1915. Le brêlage est composé de bretelles de suspension et d'un ceinturon sur lequel sont fixées les cartouchières. Le soldat porte une paire de brodequins modèle 1912 dits godillots » du nom de leur fabricant recouverts par des jambières en cuir, un havresac, un bidon d'eau d'un litre et une musette modèle 1892[4]. Le nouvel uniforme bleu horizon est plus adapté que l'ancien uniforme garance. Le pantalon marron puis bleu horizon est beaucoup plus discret que l'ancien. De même la capote Poiret elle fait son apparition en décembre 1914 à la suite d'une commande du ministère de la Guerre est beaucoup plus élégante et confortable que l'ancien uniforme[5]. Au départ fermée bord à bord dans le but d'économiser du tissu, la capote repasse en croisé à la suite des conséquences sur la santé des soldats, car elle est peu adaptée aux hivers froids et humides des tranchées, si bien que le service de santé de l'armée fait face à une recrudescence de cas de tuberculose[6]. Sous la capote, le soldat porte une vareuse et une chemise. La capote tombe à mi-jambes, si bien que le soldat doit relever ses pans et les boutonner sur la poche arrière pour ne pas entraver la marche[7]. Le casque Adrian dessiné spécialement par les chirurgiens militaires à partir des observations qu'ils ont pu faire depuis le début du conflit permet de protéger les soldats des éclats d'obus et de mortier. Le poilu est équipé d'un havresac as de carreau[8] » modèle 1893[9]. Des brodequins améliorés issus du modèle de 1912 et associés aux bandes molletières sont également adoptés. Le soldat est équipé d'un masque à gaz modèle M2 dans sa boîte métallique et a pour arme le fusil Lebel modèle 1886 ou le fusil Berthier qui peuvent être équipés de la baïonnette Rosalie[10]. À ces uniformes classiques viennent s'ajouter les uniformes spéciaux de certaines unités telles que la Légion Etrangère dont l'uniforme est kaki ou encore les Spahis. Seconde guerre mondiale uniforme français en 1940 En 1940, l'uniforme français reprend dans les grandes lignes celui du soldat de 1915 avec de légères améliorations », le changement le plus notable étant la couleur qui passe du bleu au vert kaki jugé plus fonctionnel. Celui ci se compose donc Casque Adrian modèle 1926 Bonnet de police en drap Capote à un seul rang de boutons, modèle 1938, équipé de la patte d'épaule nouveau modèle Chemise modèle 1935 Cravate "régate" modèle 1935, longueur 1,40 m, largeur aux extrémités 6 cm Ceinture en flanelle blanche Pantalon modèle 1938, dit "pantalon de golf". Confection en drap gabardine Bandes molletières À partir de mai 1940, dans certaines unités, les jambières remplacent les bandes molletières Brodequins de marche, modèle 1917 Après Guerre Les uniformes classiques Armée de terre Dans les années 1970, l'Armée de terre adopte un uniforme de cérémonie beige clair associé avec un képi, des épaulettes et, selon les régiments, une fourragère ainsi que d'autres objets traditionnels selon les occasions[11]. Armée de l'air L'uniforme de l'armée de l'air est composé d'une veste bleue nuit à une rangée de boutons dorés, un pantalon bleu nuit et une casquette blanche. La tenue peut être complétée par une paire de gant noir ou blanc pour les cérémonies. Marine nationale Les marins de la Marine nationale revêtent un uniforme bleu ou blanc en zone chaude ou dans l'arrondissement maritime de la Méditerranée. Selon le grade, les marins portent un veston et un pantalon bleu officiers et officiers mariniers ou une vareuse matelots et quartiers-maîtres avec un pantalon à pont. Les marins pompiers portent tous un veston, quel que soit le grade. Comme coiffure, les matelots et quartiers-maitres masculins portent un bonnet bachi avec un pompon rouge, et une casquette pour les autres grades. Les marins pompiers masculins portent tous une casquette avec un macaron rouge pour les matelots et quartiers-maitres. Le personnel féminin, quel que soit son grade porte un tricorne. La tenue peut être complétée par une paire de gant noir ou blanc pour les cérémonies excepté pour les matelots et quartiers-maitres. Gendarmerie Gilet d'arme Ce gilet, d'un port facultatif, est réservé aux officiers et sous-officiers. Il est porté lors de cérémonies ou en cas de froid. Le § de l'instruction du 13 juin 2005 indique Le gilet d’arme ne peut être revêtu qu’avec la vareuse terre de France ou bleu foncé pour les chasseurs par les personnels autorisés dans les tableaux récapitulatifs cf. § Son port est facultatif. Le port du gilet d’arme n’autorise en aucune circonstance le port de la vareuse ouverte à l’extérieur des locaux. Toutefois, à l’intérieur des locaux, la vareuse peut se porter ouverte sur le gilet d’arme, sur autorisation de l’autorité présente. La couleur des gilets d'arme varie suivant les traditions chasseurs alpins jonquille Légion étrangère vert ou parfois rouge écoles bleu armée de terre vert aviation bleu air gendarmerie bleu marine services armée de terre gris Le nombre des boutons dit grelots dorés ou argentés varie suivant la taille du vêtement, de 14 à 20. Les uniformes spéciaux Les légionnaires — les militaires de la Légion étrangère — portent un képi blanc, une cravate verte[12] ainsi que des épaulettes vertes et rouges. Les sapeurs de la Légion portent un uniforme similaire avec comme éléments de tradition un tablier en cuir et des gants. Les chasseurs alpins portent un large béret, appelé tarte », avec des vêtements bleu foncé ou blanc neige. Les spahis ont conservé leur longue cape blanche provenant des origines nord-africaines de leurs régiments. L’infanterie ainsi que la cavalerie de la Garde républicaine conservent leur uniforme de parade du XIXe siècle, tout comme les élèves de Saint-Cyr et de l'École polytechnique. Notes et références ↑ Christian Terana, Les uniformes de la cavalerie de la Maison du roi vers 1691, », Histoire, économie & société, vol. 15, no 1,‎ 1996, p. 141–145 DOI lire en ligne, consulté le 14 décembre 2020. ↑ a et b ↑ Le képi se compose d'un calot et d'un turban en drap de laine rouge, d'un bandeau bleu foncé, de coutures recouvertes d'un passepoil en ganse perlée en laine, d'une jugulaire en cuir noir à coulisse formée de deux bandes de veau noirci, d'une visière arrondie. L'aération est assurée par deux petites ventouses latérales sphériques métalliques percées de sept petits trous. Source Les Français à Verdun. L'uniforme français bleu-horizon ↑ Les Français à Verdun. L'évolution de l'uniforme français durant la première guerre mondiale ↑ De couleur bleu-horizon, elle n'a qu'une seule rangée de six boutons en cuivre matériau réservé en priorité à l'armement et des poches à la poitrine. Son col à revers demi-chevalière porte les insignes avec le numéro de régiment. La cravate bleu-marine se porte sous le col de la vareuse afin d'éviter les frottements et de le préserver de la sueur. ↑ Jean-Pierre Verney, La Grande Guerre, La Boétie, 2014, p. 67. ↑ Jacques Terasse, Avant l'oubli l'histoire vécue du 355e régiment d'infanterie. Grand Guerre 1914-18, Impr. Don-Bosco, 1964, p. 16. ↑ Ce nom de l'argot des soldats fait référence à la couleur orangée du poil de veau dont le havresac était à l'origine couvert. Il est surnommé aussi Azor, nom commun du chien fidèle qui toujours suit son maître, les soldats assimilant — à tort — la peau du havresac à de la peau de chien. cf. Odile Roynette, Les mots des soldats, Belin, 2004, p. 22-23. ↑ Ce sac à dos, avec un cadre en bois rigide, permet de transporter une lourde charge, et est surnommé barda, emprunt à l'arabe où il désigne la charge d'un homme ou d'un mulet. Il est enveloppé d'une toile cirée de protection et contient l'habillement de rechange et des vivres de réserve pour deux jours ; divers objets peuvent être fixés au sac sur le dessus ou les côtés, par des courroies couverture, toile de tente avec ses piquets et les trois sardines, une paire de chaussures, un fagot de bois et un des ustensiles de cuisine gamelle sur le sommet du sac, inclinée vers l'arrière pour permettre le tir couché ; marmite, moulin à café, bidon, sac ou seau ou outils pelle-bêche, pelle-pioche, hache, hachette, cisaille et pince coupes barbelés, périscope de poche à fixer au bout du fusil, serpe, scie, lanterne pliable que les hommes d'une même escouade se répartissent. Au grand complet, son poids peut atteindre 20 à 25 kg. Source Les Français à Verdun. L'équipement ↑ Christophe Prochasson, 1914-1918 retours d'expériences, Éditions Tallandier, 2008, p. 335. ↑ ↑ Alors que cette cravate est de couleur bleu-noir dans les autres armes de l'Armée de terre. Voir aussi Articles connexes Forces armées françaises Abréviations militaires France Uniforme militaire Treillis vêtement militaire Liens externes Site officiel du ministère de la Défense Uniformes de l'armée de l'air Tenue 31, site sur les uniformes français de l'entre-deux-guerres Encyclopédie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre Les uniformes de l'Armée française se distinguent selon l'appartenance du militaire Gendarmerie nationale, Armée de terre, Marine nationale , Armée de l'air. Il faut également distinguer au sein de chacune de ces armées les uniformes de cérémonie, les uniformes de service courant et les uniformes de combat, portés dans des circonstances différentes. Ancien Régime Sous le régime de Louis XIV apparait la première uniformisation des troupes. C'est vers 1680 que débute ce travail du roi et de ses ministres, travail qui avait été déjà pensé pendant la Guerre de Trente Ans. Les uniformes seront majoritairement blanc, bleu et parfois rouge ; couleurs associée à la monarchie française.[1] Premier Empire Restauration Uniformes lors du camp de Saint-Omer en 1827 Costumes militaires français en 1815 maison du Roi Second Empire IIIe République Première Guerre mondiale Uniforme 1870-1914. Uniforme 1915. Les soldats français commencent la Première Guerre mondiale avec les mêmes uniformes que lors de la guerre franco-prussienne. Si ces uniformes convenaient à la guerre de mouvement, pour des batailles rangées ponctuelles, ils se révèlent rapidement bien trop visibles, notamment le pantalon garance de 1867[2] ce qui fait des soldats français des cibles faciles. En plus de cela, la capote bleue de 1877[2] est inadaptée à la vie dans les tranchées, elle ne protège pas du froid l'hiver et se révèle beaucoup trop chaude l'été. L'uniforme est complété par un képi bleu et rouge modèle 1884[3] qui sert de cible aux tireurs ennemis et ne protège pas des éclats d'obus. De nombreux soldats mourront à cause de cet uniforme inadapté dans les premiers mois du conflit. Cela pousse l'État major à changer les uniformes des hommes de troupe en 1915. Le brêlage est composé de bretelles de suspension et d'un ceinturon sur lequel sont fixées les cartouchières. Le soldat porte une paire de brodequins modèle 1912 dits godillots » du nom de leur fabricant recouverts par des jambières en cuir, un havresac, un bidon d'eau d'un litre et une musette modèle 1892[4]. Le nouvel uniforme bleu horizon est plus adapté que l'ancien uniforme garance. Le pantalon marron puis bleu horizon est beaucoup plus discret que l'ancien. De même la capote Poiret elle fait son apparition en décembre 1914 à la suite d'une commande du ministère de la Guerre est beaucoup plus élégante et confortable que l'ancien uniforme[5]. Au départ fermée bord à bord dans le but d'économiser du tissu, la capote repasse en croisé à la suite des conséquences sur la santé des soldats, car elle est peu adaptée aux hivers froids et humides des tranchées, si bien que le service de santé de l'armée fait face à une recrudescence de cas de tuberculose[6]. Sous la capote, le soldat porte une vareuse et une chemise. La capote tombe à mi-jambes, si bien que le soldat doit relever ses pans et les boutonner sur la poche arrière pour ne pas entraver la marche[7]. Le casque Adrian dessiné spécialement par les chirurgiens militaires à partir des observations qu'ils ont pu faire depuis le début du conflit permet de protéger les soldats des éclats d'obus et de mortier. Le poilu est équipé d'un havresac as de carreau[8] » modèle 1893[9]. Des brodequins améliorés issus du modèle de 1912 et associés aux bandes molletières sont également adoptés. Le soldat est équipé d'un masque à gaz modèle M2 dans sa boîte métallique et a pour arme le fusil Lebel modèle 1886 ou le fusil Berthier qui peuvent être équipés de la baïonnette Rosalie[10]. À ces uniformes classiques viennent s'ajouter les uniformes spéciaux de certaines unités telles que la Légion Etrangère dont l'uniforme est kaki ou encore les Spahis. Seconde guerre mondiale uniforme français en 1940 En 1940, l'uniforme français reprend dans les grandes lignes celui du soldat de 1915 avec de légères améliorations », le changement le plus notable étant la couleur qui passe du bleu au vert kaki jugé plus fonctionnel. Celui ci se compose donc Casque Adrian modèle 1926 Bonnet de police en drap Capote à un seul rang de boutons, modèle 1938, équipé de la patte d'épaule nouveau modèle Chemise modèle 1935 Cravate "régate" modèle 1935, longueur 1,40 m, largeur aux extrémités 6 cm Ceinture en flanelle blanche Pantalon modèle 1938, dit "pantalon de golf". Confection en drap gabardine Bandes molletières À partir de mai 1940, dans certaines unités, les jambières remplacent les bandes molletières Brodequins de marche, modèle 1917 Après Guerre Les uniformes classiques Armée de terre Dans les années 1970, l'Armée de terre adopte un uniforme de cérémonie beige clair associé avec un képi, des épaulettes et, selon les régiments, une fourragère ainsi que d'autres objets traditionnels selon les occasions[11]. Armée de l'air L'uniforme de l'armée de l'air est composé d'une veste bleue nuit à une rangée de boutons dorés, un pantalon bleu nuit et une casquette blanche. La tenue peut être complétée par une paire de gant noir ou blanc pour les cérémonies. Marine nationale Les marins de la Marine nationale revêtent un uniforme bleu ou blanc en zone chaude ou dans l'arrondissement maritime de la Méditerranée. Selon le grade, les marins portent un veston et un pantalon bleu officiers et officiers mariniers ou une vareuse matelots et quartiers-maîtres avec un pantalon à pont. Les marins pompiers portent tous un veston, quel que soit le grade. Comme coiffure, les matelots et quartiers-maitres masculins portent un bonnet bachi avec un pompon rouge, et une casquette pour les autres grades. Les marins pompiers masculins portent tous une casquette avec un macaron rouge pour les matelots et quartiers-maitres. Le personnel féminin, quel que soit son grade porte un tricorne. La tenue peut être complétée par une paire de gant noir ou blanc pour les cérémonies excepté pour les matelots et quartiers-maitres. Gendarmerie Gilet d'arme Ce gilet, d'un port facultatif, est réservé aux officiers et sous-officiers. Il est porté lors de cérémonies ou en cas de froid. Le § de l'instruction du 13 juin 2005 indique Le gilet d’arme ne peut être revêtu qu’avec la vareuse terre de France ou bleu foncé pour les chasseurs par les personnels autorisés dans les tableaux récapitulatifs cf. § Son port est facultatif. Le port du gilet d’arme n’autorise en aucune circonstance le port de la vareuse ouverte à l’extérieur des locaux. Toutefois, à l’intérieur des locaux, la vareuse peut se porter ouverte sur le gilet d’arme, sur autorisation de l’autorité présente. La couleur des gilets d'arme varie suivant les traditions chasseurs alpins jonquille Légion étrangère vert ou parfois rouge écoles bleu armée de terre vert aviation bleu air gendarmerie bleu marine services armée de terre gris Le nombre des boutons dit grelots dorés ou argentés varie suivant la taille du vêtement, de 14 à 20. Les uniformes spéciaux Les légionnaires — les militaires de la Légion étrangère — portent un képi blanc, une cravate verte[12] ainsi que des épaulettes vertes et rouges. Les sapeurs de la Légion portent un uniforme similaire avec comme éléments de tradition un tablier en cuir et des gants. Les chasseurs alpins portent un large béret, appelé tarte », avec des vêtements bleu foncé ou blanc neige. Les spahis ont conservé leur longue cape blanche provenant des origines nord-africaines de leurs régiments. L’infanterie ainsi que la cavalerie de la Garde républicaine conservent leur uniforme de parade du XIXe siècle, tout comme les élèves de Saint-Cyr et de l'École polytechnique. Notes et références ↑ Christian Terana, Les uniformes de la cavalerie de la Maison du roi vers 1691, », Histoire, économie & société, vol. 15, no 1,‎ 1996, p. 141–145 DOI lire en ligne, consulté le 14 décembre 2020. ↑ a et b ↑ Le képi se compose d'un calot et d'un turban en drap de laine rouge, d'un bandeau bleu foncé, de coutures recouvertes d'un passepoil en ganse perlée en laine, d'une jugulaire en cuir noir à coulisse formée de deux bandes de veau noirci, d'une visière arrondie. L'aération est assurée par deux petites ventouses latérales sphériques métalliques percées de sept petits trous. Source Les Français à Verdun. L'uniforme français bleu-horizon ↑ Les Français à Verdun. L'évolution de l'uniforme français durant la première guerre mondiale ↑ De couleur bleu-horizon, elle n'a qu'une seule rangée de six boutons en cuivre matériau réservé en priorité à l'armement et des poches à la poitrine. Son col à revers demi-chevalière porte les insignes avec le numéro de régiment. La cravate bleu-marine se porte sous le col de la vareuse afin d'éviter les frottements et de le préserver de la sueur. ↑ Jean-Pierre Verney, La Grande Guerre, La Boétie, 2014, p. 67. ↑ Jacques Terasse, Avant l'oubli l'histoire vécue du 355e régiment d'infanterie. Grand Guerre 1914-18, Impr. Don-Bosco, 1964, p. 16. ↑ Ce nom de l'argot des soldats fait référence à la couleur orangée du poil de veau dont le havresac était à l'origine couvert. Il est surnommé aussi Azor, nom commun du chien fidèle qui toujours suit son maître, les soldats assimilant — à tort — la peau du havresac à de la peau de chien. cf. Odile Roynette, Les mots des soldats, Belin, 2004, p. 22-23. ↑ Ce sac à dos, avec un cadre en bois rigide, permet de transporter une lourde charge, et est surnommé barda, emprunt à l'arabe où il désigne la charge d'un homme ou d'un mulet. Il est enveloppé d'une toile cirée de protection et contient l'habillement de rechange et des vivres de réserve pour deux jours ; divers objets peuvent être fixés au sac sur le dessus ou les côtés, par des courroies couverture, toile de tente avec ses piquets et les trois sardines, une paire de chaussures, un fagot de bois et un des ustensiles de cuisine gamelle sur le sommet du sac, inclinée vers l'arrière pour permettre le tir couché ; marmite, moulin à café, bidon, sac ou seau ou outils pelle-bêche, pelle-pioche, hache, hachette, cisaille et pince coupes barbelés, périscope de poche à fixer au bout du fusil, serpe, scie, lanterne pliable que les hommes d'une même escouade se répartissent. Au grand complet, son poids peut atteindre 20 à 25 kg. Source Les Français à Verdun. L'équipement ↑ Christophe Prochasson, 1914-1918 retours d'expériences, Éditions Tallandier, 2008, p. 335. ↑ ↑ Alors que cette cravate est de couleur bleu-noir dans les autres armes de l'Armée de terre. Voir aussi Articles connexes Forces armées françaises Abréviations militaires France Uniforme militaire Treillis vêtement militaire Liens externes Site officiel du ministère de la Défense Uniformes de l'armée de l'air Tenue 31, site sur les uniformes français de l'entre-deux-guerres Depuis lundi, l'armée de l'air israélienne effectue des exercices communs avec la Luftwaffe en Allemagne. Soixante-quinze ans après la fin de la guerre, marquée par l'Holocauste commis par le régime nazi contre les juifs d'Europe, cette opération est très symbolique. L'armée de l'air israélienne a entamé cette semaine des exercices en Allemagne, une première placée sous le signe de la mémoire avec des commémorations de la Shoah et de la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich en 1972. Ces entraînements communs constituent une première » entre les deux pays sur le territoire escadrille germano-israélienne formée d'avions F16 et Eurofighter a survolé mardi matin la base aérienne de Fürstenfeldbruck, près de Munich, dans le sud de l'Allemagne. C'est là que s'était dénouée dans le sang, en 1972, la prise en otages d'athlètes israéliens par le groupe palestinien Septembre Noir. La plupart des 11 Israéliens tués pendant cet attentat avaient trouvé la mort sur la cérémonie se tiendra ensuite dans le camp de concentration de Dachau, précise notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut. Parmi les 200 membres de l’armée de l’air israélienne actuellement en Allemagne figurent des descendants d’anciens prisonniers persécutés par le régime nazi. La ministre de la Défense allemande Annegret Kramp-Karrenbauer et l’ambassadeur d’Israël en Allemagne assisteront à la cérémonie où le petit-fils d’un survivant de l’holocauste prendra la exercices communs ont déjà eu lieu en IsraëlLes exercices conjoints baptisés Bluewings 2020 » constituent certes une première en Allemagne mais certains ont déjà eu lieu en Israël. Les deux armées se sont rapprochées ces dernières années également avec l’échange régulier de renseignements. L’aviation allemande utilise depuis dix ans des drones de l’État hébreu pour lesquelles les pilotes ont été formés en exercices vont durer deux semaines, d’abord uniquement avec la Luftwaffe allemande puis la semaine prochaine avec des forces de l' connaît cependant, ces dernières années, une nette résurgence de la haine des juifs. Les forces armées sont elles-mêmes montrées du doigt pour l'appartenance de certains de ses membres, dont des soldats d'élite, à la mouvance néonazie. L'armée allemande a ainsi annoncé, fin juin, la dissolution partielle de ses forces spéciales, suite à plusieurs scandales sur leur proximité avec l'extrême droite.

tenue de cérémonie armée de l air