pdfSujet 13 L’Etat est il un mal nécessaire Populaires. 235 téléchargements . Télécharger . Sujets, Cours et Annales récents. Chargement Sujet corrigé et barèmes de Maths BAC D 2022 . Corrigé et barèmes d'Anglais LV1 BAC A1 et A2 2022 . Corrigé et barème d'Anglais LV2 BAC A2 . Sujet d'Espagnol Langue Vivante 1 BAC A1 et A2 2022 . Sujet d'Allemand Lauteur du livre L'Athéisme d'État - Pourquoi est-il nécessaire? est un ex-Témoin de Jéhovah maintenant athée. Cet athéisme ne fut pas un choix, mais une conclusion à laquelle il en est arrivé. Pour lui l'athéisme n'est pas seulement la non croyance en Dieu, mais c'est également lutter contre les dérives sectaires, la LEtat est-il un mal nécessaire? L’Etat a été mis en place tout au long de l’Histoire selon les civilisations, il a suscité des interrogations sur sa mise en place, son rôle politique et FrançoisSaint-Bonnet, lui, estime que l'état d'urgence n'est pas adapté par sa nature même : un état d'exception, et donc temporaire. « Or, la situation actuelle s'inscrit hélas dans la Alorsfaut-il en conclure que l'État est un mal en tant qu'il nous empêche d'être libre, mais qu'il est un mal nécessaire, dont nous ne saurions nous dispenser si nous letat est un mal necessaire citation Blog; About; Tours; Contact LÉtat n'est pas du tout un pouvoir imposé du dehors de la société ; il n'est pas davantage « la réalisation effective de l'idée morale », « l'image et la réalisation de la raison », comme le prétend Hegel. Non, il est un produit de la société parvenue à un degré de développement déterminé ; il est l'aveu que cette société s'embarrasse dans une Peutêtre peu fréquente par rapport à la masse entière du contentieux pénal, notre disposition procédurale paraît habituelle, au contraire, quand la répression pénale s'appesantit jusqu'à recourir à l'emprisonnement 18 : plus de 80% des entrées en prison s'opèrent au titre d'une détention provisoire 19. LÉtat est une collectivité dont la structure est juridique, qui est délimitée par des frontières territoriales et constituée d'institutions lui assurant un pouvoir suprême (la souveraineté). D'après Max Weber dans Le Savant et le politique, « l'État est une entreprise politique à caractère institutionnel dont la direction administrative revendique avec succès dans Laquestion est doublement biaisée : En réalité, l'Etat n'est pas nécessairement un mal (l'Etat providence par exemple). Et l'Etat n'est pas non plus nécessaire à toute société : Hhfus. La corruption est le principal obstacle au développement économique et social de nos pays. Elle freine la croissance, nuit à l’Etat de droit et entraîne un gaspillage de compétences et de ressources à nul autre pareil. La corruption enracine la médiocrité dans la société. Selon Transparency International, la corruption est le détournement à des fins privées d’un pouvoir confié en délégation. Entendue dans son sens strict, elle désigne le fait pour une personne investie d’une fonction déterminée, de solliciter ou d’accepter un don ou un avantage quelconque en vue d’accomplir ou de s’abstenir d’accomplir, un acte entrant dans le cadre de ses fonctions. On distingue ainsi la corruption active qui désigne le fait de proposer le don ou l’avantage quelconque à la personne investie de la fonction déterminée, de la corruption passive qui correspond au fait, pour la personne investie de la fonction déterminée, d’accepter le don ou l’avantage. Le Cameroun qui a ratifié la Convention des Nations Unies sur la prévention et la lutte contre la corruption et signé la Convention Africaine de prévention et de lutte contre la corruption, a pris en compte cette préoccupation dans son cadre normatif, notamment le Code pénal. En effet, tout fonctionnaire ou agent public auteur ou co-auteur de corruption est susceptible d’être poursuivi conformément à l’article 134 dudit Code. Il est cependant à déplorer le fait qu’il n’existe pas de législation nationale spécifique de prévention et de lutte contre la corruption au Cameroun. Cette loi est pourtant réclamée par la société civile et les autres parties intéressées pertinentes, au rang desquelles les principaux partenaires techniques et financiers de l’Etat. A l’observation, la corruption constitue l’un des cancers de notre société, et une entrave majeure à notre marche vers le développement. Au Cameroun nous la rencontrons à chaque coin de rue, soit en tant qu’acteur, soit en tant que victime. Le phénomène n’est pas en perte de vitesse, malgré les actions symboliques et pratiques mises en œuvre ces vingt-cinq 25 dernières années. En effet, les Camerounais donnent l’impression d’être liés les uns aux autres par un pacte de corruption implicite ou explicite selon le cas, en vertu duquel la vie en société n’aurait d’autre fin que le service d’intérêts individuels ou catégoriels, au détriment de l’intérêt général. De fait, la corruption, qu’il s’agisse de la petite ou de la grande, obère les capacités de développement du pays. Cela se voit à travers la qualité de la dépense publique, à travers certains choix d’investissement éminemment discutables, ou encore dans le domaine de la sécurité routière. A titre d’illustration, alors que les pouvoirs publics validaient la stratégie nationale de prévention et de sécurité routière du Cameroun en 2018, un accident de la route a eu lieu sur la nationale N°4 reliant Yaoundé à Bafoussam. Cet accident a causé la mort de 31 personnes et occasionné 04 blessés graves. Les premières conclusions du Gouvernement faisaient état de ce que a le chauffeur ne disposait pas du permis de conduire approprié ; b l’agence de voyage ne disposait pas d’une licence l’autorisant à exercer l’activité de transport interurbain des personnes ; c le véhicule, chaussé de pneus usés, lesquels ont été impliqués dans sa sortie de piste, disposait d’un certificat de visite technique conforme qui lui aurait été délivré 07 jours avant l’accident. Il faut également constater que le domaine de la commande publique constitue l’un des champs d’expérimentation les plus fertiles de la corruption dans notre pays. C’est dommage car cela affaiblit l’efficacité de l’action publique. Il conviendrait à cet égard de réviser la réglementation pour corriger les faiblesses du système des marchés publics, au regard de la tendance haussière des contentieux de l’attribution, dans lesquels les Sous-Commissions d’Analyse des Offres sont compromises. La réglementation des marchés publics, conçue et mise à jour pour faire obstacle à la corruption dans la commande publique, contribue paradoxalement à alimenter, à nourrir le phénomène, au grand dam des acteurs chargés de la régulation et du contrôle du secteur. Sont en cause les dispositions relatives à la communication des notes des soumissionnaires avant l’ouverture des offres financières, celles relatives aux délais de recours ou encore le fait que le plaignant lors d’un recours, ne reçoit que la partie du rapport d’analyse des offres qui le concerne, alors que la pratique de corruption ici peut consister à surnoter ou à couvrir les manœuvres frauduleuses d’un compétiteur autre que le plaignant, et non pas seulement à mal noter ce dernier. Les citoyens attendent de l’administration qu’elle mette en œuvre un projet de société orienté vers le développement du pays et prenant appui sur la satisfaction de l’intérêt général. Elle ne peut pas à la place, proposer un choix de société qui banalise la corruption et fait le lit de la médiocrité. La corruption entraîne le pays dans des profondeurs abyssales. Elle révèle ce qu’il y a de plus perfide en nous, elle sape les fondements de la société, érige en norme le vol et la tricherie, elle met la médiocrité au pinacle, elle tue aussi, sur les routes, dans les hôpitaux, dans des lieux insoupçonnés, et il faut en prendre clairement conscience. L’administration hélas, est pour beaucoup dans la prolifération de la corruption dans le corps social. Les conséquences de la corruption sont perceptibles à travers la crise morale que traverse la nation, à travers certains accidents de la circulation ou encore dans la gestion des projets ou dans les choix d’investissement inutilement coûteux, et le risque est grand que les conséquences lointaines soient pires que ce que l’on pourrait imaginer. Il y a péril en la demeure, nous devons avoir le sursaut nécessaire pour bâtir ensemble une société plus vertueuse, normée, une société dans laquelle la règle prime. En effet, la corruption entraîne inexorablement le pays dans un chaos social, et obère nos capacités de développement comme cela a déjà été évoqué. A la question de savoir la raison pour laquelle la corruption prospère autant sous nos cieux, la réponse qui vient à l’esprit de l’auteur de ces lignes, est que les Camerounais sont invariablement liés les uns aux autres par le pacte de corruption évoqué plus haut, lequel favorise un consensus tacite sur le fait que la corruption jouerait un rôle de régulation sociale, de répartition de la richesse. En effet la corruption apparaît au Cameroun comme un comportement rationnel et calculé, présent dans toutes les strates de la société. A dire vrai, la prévarication et la monétarisation des relations sociales ont atteint leur niveau le plus haut depuis l’indépendance, au point de renouveler l’hypothèse de l’Etat néo-patrimonial dont l’Afrique au demeurant n’est pas seule coutumière, même si elle en est le terreau le plus fertile. Classé pays le plus corrompu au monde en 1998 et 1999 par Transparency International, le pays a depuis lors créé des institutions chargées de lutter contre ce fléau, et a également renforcé le cadre juridique y relatif. Cependant, en dépit de ces mesures, le Cameroun reste l’un des pays les plus corrompus au monde 34e d’après le classement 2021 de TI, accréditant ainsi l’impression selon laquelle son classement peu enviable par TI, parait au fond assumé, en dépit des discours de convenance des autorités. A cet égard, le bilan de la Commission Nationale Anti-Corruption créée en 2006 paraît plutôt maigre, au point que l’on pourrait être tenté de questionner son utilité réelle. Il nous faut prendre conscience de ce que la corruption est le principal obstacle au développement économique et social de notre pays. En effet, elle freine la croissance économique, nuit à l’état de droit et entraîne un gaspillage de compétences et de ressources à nul autre pareil. Lorsqu’elle fragilise les structures chargées de la sécurité et de l’ordre public, la corruption peut poser des problèmes de sécurité nationale. Lorsqu’elle devient omniprésente, elle empêche le secteur public de remplir sa mission ainsi que les entreprises de réaliser leur potentiel. La corruption détourne des fonds destinés aux services essentiels, notamment les soins de santé, d’éducation, etc. En cela, elle pénalise en premier lieu les plus fragiles d’entre nous, particulièrement les Camerounais économiquement faibles. Contrairement à une idée reçue, les véritables entrepreneurs abhorrent la corruption, ne serait-ce parce qu’elle augmente le coût de l’activité économique. La corruption dans le monde des affaires est sujet courant, et quasiment toutes les entreprises y sont confrontées, qu’elles soient grandes, moyennes ou petites. Si la corruption s’inscrit clairement à l’encontre de l’éthique des affaires, certains investisseurs diront cependant qu’elle est nécessaire pour réussir ses projets notamment dans un pays comme le nôtre, arguant qu’une entreprise qui refuserait de la pratiquer au nom de l’éthique verrait ipso facto ses chances de réussite fondre comme neige au soleil. Un investisseur dans notre société doit-il être obligé de choisir entre performance et éthique des affaires ? Est-ce à dire qu’il est impossible de réussir sans recourir à des pratiques corruptives ? C’est contre cette doxa qu’il faudrait s’insurger. Il faut déplorer que malgré les efforts de certains acteurs, il n’existe pas encore une masse critique permettant d’impulser une véritable dynamique anti-corruption, le plus grand nombre étant persuadé à tort que les avantages de la corruption sont plus importants à leur échelle, que ses inconvénients. Parmi les solutions à mettre en œuvre, outre l’éducation populaire et la sanction systématique des actes de corruption, il convient d’envisager de revaloriser significativement des salaires des fonctionnaires et agents de l’Etat. Cette mesure permettrait de diminuer les initiatives de corruption dont les cibles sont les usagers ou les prestataires de l’administration. Elle permettrait également de réduire les atteintes à la fortune publique. Il faut dire pour alarmer le corps social sur ce phénomène que l’on a fini par banaliser, que le coût moral de la corruption peut être fatal à notre société, tant ce phénomène attaque et dynamite les fondations que sont nos normes, nos principes et nos valeurs cardinales. De surcroît, la corruption enracine la médiocrité dans la société, ce qui constitue un autre péril grave pour la nation, particulièrement pour la jeunesse, en perte de repères, et pour les personnes en situation de responsabilité. A cet égard, sans chercher à jeter l’anathème sur l’ensemble des serviteurs de l’Etat, il convient d’appeler l’attention des autorités publiques sur le fait que la corruption des agents publics constitue une entrave majeure à la capacité du gouvernement à satisfaire les besoins fondamentaux des citoyens. A ce titre les décideurs plus que quiconque, ont intérêt à lutter contre ce phénomène. En effet, la corruption limite la capacité des gouvernements à servir efficacement les citoyens, elle fragilise la subordination au droit, elle affaiblit les institutions publiques et érode la confiance dans les dirigeants. Elle doit être réprimée sans ambages, elle n’est pas une fatalité, encore moins un mal nécessaire’’. LE GRAND ANGLE DIPLO - Cette semaine, une dizaine d’ONG françaises et étrangères ont exigé du gouvernement qu’il cesse toute livraison d’armes à l’Arabie saoudite ou aux Emirats arabes unis. Sur ce sujet à la fois tragique et controversé, la chronique, comme chaque samedi matin à 7h15 sur Europe1, du rédacteur-en-chef international du JDD, François ces ONG, il y a les plus grandes comme Amnesty ou Human Rights Watch mais aussi bien d’autres qui sont actives et indispensables auprès des victimes du conflit au Yémen où au moins personnes sont mortes au sein de la population civile depuis 4 ans. Dans ce genre de débat sur les ventes d’armes, il faut bien reconnaître que tout est devenu de plus en plus binaire. Que des démocraties comme la France vendent des armes à des pays qui ne le sont pas, comme l’Arabie saoudite et les Emirats, voilà qui parait pour certains déjà contestable. Mais si en plus ces mêmes pays s’engagent dans des conflits qui causent de nombreuses victimes civiles et voilà la France carrément accusée de complicité de crimes de aussi - Armes françaises au Yémen ce que révèle une note militaire et pourquoi elle contredit la position de ParisOr, la note de la Direction du renseignement militaire à laquelle se réfèrent les ONG, et qui a été précisément réclamée par le pouvoir exécutif pour pouvoir évaluer la situation, évoque un risque. Un risque calculé que l’une des trois batteries de canons Caesar postés côté saoudien, ne finisse par tirer un obus qui toucherait des civils. Jusqu’à présent, et les ONG le savent, les Houthis que combattent la coalition arabe n’ont jamais apporté le moindre début de preuve qu’un obus ou une bombe de fabrication française aient tué des civils yéménites. L’inverse en revanche est prouvé. Les Nations Unis ont révélé que des missiles iraniens ont été tirés par les miliciens Houthis sur leurs adversaires et en zone d’habitation civile. Est-ce que cela résout le problème posé, les questions éthiques? abandonner ce secteur stratégique?Mais pour illustrer la complexité de ce dossier des ventes d’armes, il faut rappeler des vérités qui font parfois mal à entendre. D’abord, la France est, selon les années, l’un des trois premiers exportateurs d’armes dans le monde. Ensuite, elle s’efforce de livrer à des pays qui ne sont pas en guerre mais qui pourraient bien s’y retrouver confrontés. Tertio, et cette notion suscite souvent de l’indignation, mais si la France cessait de produire ou d’exporter, d’autres le feraient à sa place à commencer par les Etats-Unis, la Russie et la Chine. Est-ce que ce secteur économique, industriel et stratégique doit leur être abandonné?"On a beau dire que ce secteur emploie en France personnes et indirectement, cet argument semble négligé, comme s’il était sulfureux"Et puis, il y a le modèle économique de l’industrie de l’armement. On a beau dire que ce secteur emploie en France personnes et indirectement, cet argument semble négligé, comme s’il était sulfureux. Idem pour les résultats à l’exportation, ce qui permet de rééquilibrer un commerce extérieur structurellement déficitaire. Sans oublier la recherche et le développement qui, comme chacun le sait, a d’infinies répercussions sur les inventions et les technologies dans le domaine civil et la consommation courante. Est-ce négligeable?Un débat paradoxalC’est tout le paradoxe du débat public sur ce sujet. D’un côté, tout le monde est d’accord pour dire que la guerre est une chose atroce qu’il faut éviter à tout prix et c’est pour cela que la diplomatie existe. De l’autre, l’armée française, est plébiscitée en tant qu’institution et pour son courage dans les opérations extérieures. Or, ses équipements ne peuvent être développés que s’ils sont également vendus à l’export. Le problème, c’est qu’une fois que le conflit est là, il y a au moins trois options La neutralité diplomatique, c’est le cas de la Suisse, qui soit dit en passant est le 11e exportateur mondial ;l’engagement aux côtés de l’un des belligérants, ce n’est pas le cas de la France au Yémen, même si une partie des armes vendues avant le conflit sont aujourd’hui utilisées par les saoudiens et les émiriens ;ou la volonté de jouer un rôle dans une zone stratégique pour l’ le Moyen Orient et le Golfe restent, pour l’Europe, notre sud et notre accès à l’Asie. Bref, les diplomates et les militaires français, quels que soient nos gouvernements, rappellent une chose que l’on doit prendre en considération au même titre que ce qu’énoncent, et c’est leur devoir, les ONG la paix chez soi se construit par la défense, celle-ci n’est viable que si elle innove et exporte. Ensuite, il est vrai qu’on peut choisir ses clients ou rompre ses contrats et ses alliances. Mais dans ce cas, c’est sa propre crédibilité et sa signature que l’on met en doute. Ce qui, pour une France qui veut rester puissance, même moyenne, est un vrai défi. Sur quels sujets traitant de l'Etat êtes-vous susceptibles de tomber lors de votre examen de philosophie ? Par Olivier Rédigé le 12 juillet 2010 1 minute de lecture Chapitres Dissertation Autre La plateforme qui connecte profs particuliers et élèves Vous avez aimé cet article ? Notez-le ! Olivier Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours ! 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